Je vous livre la correction des 12 mots


J'avais contracté dans mes conversations avec la femme qui la première avait dévelopé développé mes idées une insurmontable avertion aversion pour toutes les maximes communes et pour toutes les formules dogmatiques. Lors donc que j'entendais la médiocrité disserter avec complaisance sur des principes biens bien établis , bien incontestables en fait de moral morale de convenance convenances ou de religion , choses qu'elle met assez volontier volontiers sur la même ligne , je me sentais poussé à la contredire , non que j'eusse adopté des opinions opposées , mais parce que j'étais impatienté d'une conviction si ferme et si lourde .Je ne sais quel instinct m'avertissait , d'ailleurs, de me défiler de ces axiomes généraux si exempt exempts de toute restriction , si purs de toute nuance .Les sauts sots font de leur morale une masse compacte et indivisible , pour qu'elle se mêle le moins possible avec leurs actions et les laisse libres dans tous les détails .Je me donnai bientôt , par cette conduite, une grande réputation de légèreté , de persiflage , de méchanceté. Mes paroles amères furent considérés considérées comme des preuves d'une âme haineuse , mes plaisanteries comme des attentats contre tout ce qu'il y avait de plus respectable Ceux dont j'avais eu le tort de me moquer trouvaient comode commode de faire cause commune avec les principes qu'ils m'accusaient de révoquer en doute arce que sans le vouloir je les avais faits fait rire aux dépens les uns des autres , tous se réunirent contre moi .On eût dit qu'en faisant remarquer leurs ridicules , je trahissais une confidence qu'ils m'avaient fait faite .

Bravo à Oum Taha et à Azzeddine

La ville se trouvait alors à l'apogée de sa fortune.En sus de ses commerces et de ses armuriers , les motifs de prospérité abondaient .La guerre , qui avait provoqué tant de maux dans les belles cités du Midi de la France , n'avait fait à Bordeaux que du bien.[...]Par ses seize grilles ouvrants sur le pays , une double marée se déversait depuis un quart de siècle :le flux des soldats aux mains et aux poches vides qui se précipitaient vers l'intérieur de la France , le reflux des vainqueurs enrichis qui ployaient sous le fait de leur butin.La cour du prince , également , avec son essain de nobles barrons et de chevaliers fortunés.-dont beaucoup , imitant leur maître , avaient fait venir d'Angleterre leur épouse et leurs enfants - , aidait à gonfler les coffres des citadins .Mais l'affluance des nobles et des gentilhommes compliquaient tellement le ravitaillement et et le logement que le Prince avait dû dépêcher son armée à Dax afin de limiter l'encombrement de sa capitale .Sur la grande place devant la cathédrale et l'abbaye de Saint-André , une foule de prêtres , de soldats , de femme , de moines et de bourgeois étaient rassemblés..C'était le centre des cancans , le rendez-vous des badauds .
Parmis les groupes des Bordelets bavards et gesticulant , les chevaliers suivis de leurs écuyers se frayèrent leur chemin vers la demeure du Prince .:les immenses portes cloutées de fer étaient grand ouvertes :il tenait donc audience à l'intérieur .


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Je trouvais Mme Henry fort changé d'allure .[...]Elle avait parfois l'air d'adresser comme une prière muette à son mari et il me sembla qu'elle lui parlait plus souvent [...]On croit peut-être que ce changement était agréable à Mr Henri ? En aucune façon.Au contraire , chacune de ces inovations lui portait un coup ; il croyait y lire l'aveu des coupables désirs de sa femme .[...]En public, il savait se contenir ; mais on percevait en lui une iritation profonde et latante.
Même avec sa femme , il lui échappait des réponses acerbes : soit qu'elle l'eût froissée quelque ammabilité intempestive ; ou peu-être sans motif plausible, et par un simple éponchement spontané de l'irritation habituelle chez lui.
Tout ce temps aussi , outre qu'il se nuisait par ce défaut d'humeur , il compromettait sa position par un silence dons je n'ose décider s'il provenait de la générosité ou de l'orgeuil ..
Les contrebandiers revinrent à plusieurs reprises[...]et aucun ne s'en retournat les mains vides

Trouvez toutes les fautes qui s'y trouvent .Plus vous en dénichez , plus vous êtes forts et calés.