ÑÏ: Rendons un petit hommage au poètes français à ma fille O!mon enfant, tu vois , je me soumets Fais comme moi ,vis du monde éloignée Heureuse?non triomphante?jamais -résignée- sois bonne est douce,et lève un front pieux Comme le jour dans les cieux met sa flamme Toi,mon enafant dans l'azur de tes yeux met ton ame! Nul n'est heureux,et nul n est triomphant L'heure est pour tous une chose incomplète L'heure est une ombre ,et notre vie enfant, en est faible ! Oui de leur sort tous les hommes sont las Pour etre heureux ,a tous -destin morose. Tout a manqué,tout c 'est a dire,hélas! peu de chose! Ce peu de chose est ce que ,pour sa part Dans l univere chacun cherche est désire: un mot un nom , un peu d 'or,un regard un sourire! la gaité monque au grand roi sans amour la goutte d'eau manque au desert immense l'homme est un puit où le vide toujours Recommence Vois ces penseurs que nous divinisons Vois ces héros dont les fronts nous dominent Noms dont toujours nos sombres horizons S'illuminent |
ÑÏ: Rendons un petit hommage au poètes français http://s7.addthis.com/static/btn/sm-plus.gifPartager http://poesie.webnet.fr/home/img/ico_imprimer.jpg http://poesie.webnet.fr/home/img/ico_offrez_ami.jpg La semaine poétique réservée à VICTOR HUGO est écoulée,je me permets de vous proposer CHARLES BAUDELAIRE auteur du recueil LES FLEURS DU MAL (du vendredi au vendredi comme il est proposé par SORAYA))
A celle qui est trop gaie Ta tête, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage ; Le rire joue en ton visage Comme un vent frais dans un ciel clair. Le passant chagrin que tu frôles Est ébloui par la santé Qui jaillit comme une clarté De tes bras et de tes épaules. Les retentissantes couleurs Dont tu parsèmes tes toilettes Jettent dans l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé ; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que je t'aime ! Quelquefois dans un beau jardin Où je traînais mon atonie, J'ai senti, comme une ironie, Le soleil déchirer mon sein ; Et le printemps et la verdure Ont tant humilié mon coeur, Que j'ai puni sur une fleur L'insolence de la Nature. Ainsi je voudrais, une nuit, Quand l'heure des voluptés sonne, Vers les trésors de ta personne, Comme un lâche, ramper sans bruit, Pour châtier ta chair joyeuse, Pour meurtrir ton sein pardonné, Et faire à ton flanc étonné Une blessure large et creuse, Et, vertigineuse douceur ! A travers ces lèvres nouvelles, Plus éclatantes et plus belles, T'infuser mon venin, ma soeur ! |
ÑÏ: Rendons un petit hommage au poètes français Charles Baudelaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher http://upload.wikimedia.org/wikipedi...colour.svg.png « Baudelaire » redirige ici. Pour les autres significations, voir Baudelaire (homonymie). Charles Baudelaire http://upload.wikimedia.org/wikipedi...laire_crop.jpg Baudelaire par Etienne Carjat Nom de naissance Charles Pierre Baudelaire Activité(s) Poète, critique d'art, essayiste, traducteur Naissance 9 avril 1821 Paris, http://upload.wikimedia.org/wikipedi...France.svg.png Royaume de France Décès 31 août 1867 (à 46 ans) Paris, http://upload.wikimedia.org/wikipedi...France.svg.png Empire français Langue d'écriture français, latin Genre(s) Poésie, poème en prose, essai, critique d'art Œuvres principales
Charles Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort le 31 août 1867 à Paris. Il est l'un des poètes les plus célèbres du XIXe siècle : en incluant la modernité comme motif poétique, il a rompu avec l'esthétique classique ; il est aussi celui qui a popularisé le poème en prose. Aujourd'hui reconnu comme un écrivain majeur de l'histoire de la poésie mondiale, Baudelaire est devenu un classique. Barbey d'Aurevilly voyait en lui « un Dante d'une époque déchue »[1]. Au travers de son œuvre, Baudelaire opère une transformation radicale de l'esthétique dominante, en proclamant vouloir libérer l'esthétique de toute considération morale ou éthique. Comme le postule si bien le titre de son recueil Les Fleurs du mal, il a renouvelé en profondeur les motifs poétiques. Dans ses poèmes il a tenté de tisser et de démontrer les liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges (Les Phares[2]). En parallèle de poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux pour l'époque (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). |
ÑÏ: Rendons un petit hommage au poètes français Allegorie c est une femme belle et de riche en coulure qui laisse dans son vin trainer sa chevlure les grifes de l amour.les poisons de tripot tout glisse et tout s emousse au granit de sa peau elle rit a la mort et nargue a la debauche ces monstres dont la main .qui toujours gratte et fauche dansses jeux destructeurs a portant respecte de ce corp ferme et droit la rude maleste elle marche en deesse et repose en sultane il a dans le plaisir la foi mahometane est dans ses bras ouverts.que remplissent ses seins elle appelle des yeux la race des humains elle croit.elle sait.cette vierge infeconde et pourtant necessaire a la marche du monde que la beaute du corps est un sublime don qui de toute infamie arrache le pardon elle ignore l enfer comme le purgatoire et quand l heure viendra d entrer dans la nuit noire elle regardera la face de la mort ainsi qu un nouveau6ne.sans haineet sans remords |
ÑÏ: Rendons un petit hommage au poètes français Bonsoir chers professeurs J'espère que vous vous portez à merveille et que cette chaleur qui reigne ces jours-ci ne vous a pas accablés je vous félicite express-1 pour avoir terminé la semaine de Victor Hugo par ce beau poéme et aussi pour votre extraordinaire choix Charles Baudelaire et merci aussi pour la biographie de ce grand poète très belle initiative de votre part, j'en suis ravie acceptez chèrs collégues l'expression de mon grand respect soraya |
ÇáÓÇÚÉ ÇáÂä 18:31 |
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