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ÃÝÑÇÍ Èä ÌÏí - 0528861033 voiture d'occasion au Maroc
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ÞÏíã 2014-02-28, 23:13 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 236
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  1. 1
    Lancez une conversation. La première étape pour apprendre à connaître un potentiel ami est d'avoir une conversation avec cette personne. Apprenez-en un peu plus à propos d'elle et de ce qu'elle aime. Une fois lancé sur un sujet intéressant, le reste viendra tout naturellement.
    • Essayez de faire un commentaire assez général ou bien de poser une question sur quelque chose d'assez générique, juste pour briser la glace entre vous deux. Par exemple "Chouette fête, tu trouves pas ?" ou bien "Comment as-tu appris à connaître John ?".
    • Essayez d'écouter plus que de parler. Montrez que vous êtes intéressé dans ce que la personne a à dire.
    • Apprenez-en un peu plus à propos de leurs passions et des choses qui les intéressent. Si vous réussissez à trouver quelque chose que vous deux avez en commun, cela permettra de faire avancer la conversation de façon beaucoup plus fluide.

  2. 2
    Obtenez leurs coordonnées. Assurez-vous de récupérer les coordonnées des personnes avec qui le courant passe bien avant que vos routes ne divergent. Vous en aurez besoin si vous voulez recontacter ces personnes pour passer du temps ensemble à nouveau.
    • Obtenez leurs numéros de téléphone ou bien leurs adresses e-mail, ou demandez-leur s'ils ont un compte Facebook. Ce n'est pas la façon de les contacter qui est importante, ce qui compte c'est que vous puissiez à nouveau les contacter.
    • Assurez-vous d'aussi leur donner vos coordonnées. Il est possible qu'ils vous invitent plus tard à juste passer un moment sympa avec eux.
  3. 3
    Invitez-les à passer du temps ensemble. C'est là que beaucoup de personnes hésitent. Bien sûr, il n'y a pas de problème à rencontrer quelqu'un, l'ajouter dans vos amis Facebook mais vous ne développerez pas une "véritable" amitié si vous ne franchissez pas l'étape suivante qui consiste à passer du temps ensemble.
    • Vous n'avez pas besoin de les inviter à faire quelque chose de spécial, demandez-leur simplement s'ils veulent venir boire un verre avec vous ou bien s'ils veulent venir passer du temps à la plage avec vous.
    • Même s'ils ne peuvent pas répondre à votre invitation, ils seront surement flattés que vous leur ayez proposé. Essayez à nouveau d'ici une semaine ou deux.

  4. 4
    Acceptez toutes les invitations que vous recevez. Il est bien de faire vos propres projets en ce qui concerne rencontrer des gens, mais recevoir une invitation de la part de quelqu'un d'autre est encore mieux. Voyez cela comme un moyen facile pour apprendre à mieux connaître quelqu'un ou pour rencontrer de nouvelles personnes.
    • Acceptez toutes les invitations qui vous sont faites, même si cela est pour aller voir un film qui vous ne vous intéresse pas ou bien pour aller pratiquer un sport que vous n'aimez pas. Une fois là-bas, vous serez content d'avoir fait l'effort de venir.
    • Vous ne voulez pas traîner une réputation derrière vous de quelqu'un qu'on ne voit jamais nulle part. Ce genre de réputation est en effet une manière sure de ne jamais être invité nulle part.

  5. 5
    Donner du temps à cette relation naissante pour qu'elle puisse se développer et s'épanouir. Les relations profondes et privilégiées ne se créent pas en une nuit comme par enchantement, il est important au contraire de leur donner de la matière pour se développer et du temps pour s'épanouir.
    • Une fois ces premières étapes franchies et que l'habitude de sortir avec des gens s'est installée en vous, une seule chose reste à faire : répétez, répétez, répétez.
    • Pour devenir le véritable ami de quelqu'un il est nécessaire de passer du temps assez souvent avec cette personne, rester en contact, passer de bons moments et apprendre à se connaître l'un l'autre sur des sujets moins superficiels, plus profonds.





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ÞÏíã 2014-02-28, 23:16 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 237
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Méthode 3 sur 3: Ce qu'il faut rechercher en un véritable ami


  1. 1
    Recherchez quelqu'un avec qui vous pouvez vous amuser. Un véritable ami est quelqu'un avec qui vous pouvez passer des moments vraiment géniaux avec. Vous devriez être capable de créer vos propres blagues, rigoler ensemble, se mettre dans le pétrin ensemble et réellement apprécier la compagnie de l'autre.

  2. 2
    Recherchez quelqu'un qui sera honnête avec vous. Peu importe les circonstances, un véritable ami sera toujours honnête avec vous. Et cela, qu'il s'agisse de quelque chose de banal, par exemple quels vêtements vous vont bien, ou de quelque chose qui peut changer votre vie tel le fait que votre compagnon ou votre compagne vous trompe. Un véritable ami ne vous laissera jamais dans l'ombre.

  3. 3
    Recherchez quelqu'un qui sera loyal envers vous. Un véritable ami mettra toujours un point d'honneur à être loyal envers vous, et ce que vous soyez présent ou non. Cela veut dire qu'il(elle) restera à vos côtés, même s'il(elle) n'est pas d'accord avec vos choix et qu'il(elle) sera toujours là pour vous même quand plus personne d'autre ne l'est.

  4. 4
    Recherchez quelqu'un digne de confiance. Vous pouvez faire confiance à un véritable ami à propos de tout, que cela soit à propos de nourrir votre chat lorsque vous partez en vacances ou bien pour des sujets beaucoup plus sérieux par exemple vos secrets les mieux gardés.
  5. 5
    Recherchez quelqu'un sur qui vous pouvez vous reposer. Un véritable ami est là quand vous avez besoin de lui, que cela soit pour partager vos plus grands moments de joie ou vous aider dans les moments difficiles de votre vie. Un véritable ami répond à vos coups de fil. Il sera présent à cette sortie à 2 couples que vous avez organisée et qui n'est pas franchement géniale. Et un véritable ami ne vous lâchera pas dans les moments difficiles.

  6. 6
    Recherchez quelqu'un qui vous soutienne. Un véritable ami vous soutiendra, vous et vos objectifs dans la vie. Un véritable ami n'essayera pas de vous changer, vous faire sentir mal à l'aise ou encore vous freiner dans vos projets (à moins que cela soit vraiment pour votre bien). Un véritable ami vous encouragera à donner le meilleur de vous. Publicité





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ÞÏíã 2014-02-28, 23:27 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 238
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Un véritable Ami

« Il n’y a pas de plus grand Amour que de donner sa vie pour ses Amis. »
(Jean XV-13)
C’était la fin d’un bel après-midi d’Été.
Ibrahim Ben Abdullah se tenait, au soir de sa vie, sur le seuil de sa porte et regardait son jardin, et il lui semblait voir là une image de sa vie se tenant derrière lui…
Son fils Ahmed arriva alors, de retour d’une visite à la ville.
Ibrahim questionna son fils Ahmed :
- Mon fils, as-Tu vécu de beaux moments ?
- Oui, mon père, dit joyeusement Ahmed, car j’étais avec mes amis !
Alors Ibrahim le questionna encore :
- Mon fils, connais-Tu le nombre de Tes Amis ?
Ahmed répondit :
- Mon père, c’est bien difficile, car ils sont nombreux, mais je crois bien en avoir une bonne centaine, au moins !
Ibrahim lui dit alors :
- Mon fils, n’appelle jamais un homme Ton Ami avant de l’avoir mis à l’épreuve ! Moi qui suis beaucoup plus âgé que Toi et qui suis tout près de partir pour le grand Pays, je n’ai connu, au cours de toute ma présente vie terrestre, qu’un demi-Ami. Alors, comment pourrais-Tu en avoir plus d’une centaine ? Mets-les tous à l’épreuve, alors Tu sauras si, parmi eux, Tu peux posséder un seul véritable Ami.
- Mon père, répondit Ahmed, toujours prêt à apprendre de son père, dont il avait toujours reconnu la grande Sagesse, qu’est-ce qu’un véritable Ami ?
- Un véritable Ami, c’est quelqu’un qui T’aime plus qu{’il ne s’aim}e lui-même !
- Mon père, reprit alors Ahmed, comment pourrais-je reconnaître un véritable Ami ?
- Abats l’un de nos veaux gras, dit-il en désignant du regard le pâturage où se prélassaient quelques beaux veaux, coupe-le en morceaux et mets-le dans un sac maculé de son sang. Portant ce sac, va alors trouver celui que Tu considères être Ton meilleur Ami, et demande-lui de bien vouloir enterrer cet homme que Tu as été obligé, pour sauver la vie de quelqu’un d’autre, de tuer et dont Tu portes le cadavre sur Ton épaule. Et Tu ajouteras : « Personne d’autre ne le saura et Tu me rendras un très grand service, car je suis dans une situation désespérée et dois immédiatement fuir. »
Ahmed mit aussitôt en application le conseil de son père, et se dirigea vers le pâturage, chercher le veau dont il avait besoin.
Sa besogne faite, il alla trouver celui qu’il considérait être son plus grand Ami. Mais, lorsque, son sac dégoulinant de sang sur le dos, il eût, sur un ton désespéré, exprimé sa requête, l’ami, horrifié, lui répondit :
- Malheureux ! N’entre pas chez moi avec Ton cadavre ! Enterre Ton mort Toi-même, car Tu as commis un crime, un meurtre, un assassinat ! Je ne veux pas être souillé de son sang et ne veux rien avoir à faire avec un criminel,un meurtrier, un assassin !
Accablé par cette inattendue et dure réaction, Ahmed se rendit alors chez tous ses « amis », mais partout il reçut le même glacial « accueil ». Alors il revint chez son père, Ibrahim, et, tristement, lui raconta ce qui lui était arrivé.
- Ah ! Ah ! Lorsque tout va bien, tout le monde a beaucoup d’amis, dit son vieux père Ibrahim, tout en lissant sa longue barbe blanche, mais quand ça va mal, ils deviennent aussi nombreux que les poils de barbe sur le menton d’un jeune blanc-bec ! Et, maintenant, je Te suggère d’aller trouver l’homme dont je T’ai dit qu’il était un demi-Ami et écoute bien ce qu’il va Te dire !
Ahmed se rendit chez l’homme dont son père lui avait si chaleureusement fait l’éloge et il lui demanda s’il pouvait enterrer son cadavre.
L’Ami fidèle entre tous, aussitôt, lui répondit :
- Entre, Ami, fils de mon Ami, dans ma maison, sans faire de bruit afin que les voisins ne T’entendent pas.
Et il demanda à sa femme, à ses enfants et à tous les gens de sa maison de sortir, par-devant, dans la rue. Lorsqu’il se trouva enfin seul avec Ahmed, il l’entraîna dans un champ qu’il possédait, derrière sa maison, et, devant lui, il y creusa, au milieu d’un carré de manioc, un trou pour y enterrer le cadavre, à tout jamais.
Lorsqu’il eut creusé un trou assez grand, il y jeta le sac sanguinolent, sans en regarder le contenu.
Alors qu’il s’apprêtait à le recouvrir de terre, et que Ahmed eut vu à quel point fidèle était le cœur de cet homme, Ami de son père, il l’arrêta dans son geste, lui avoua la vérité et le remercia de son accueil, de sa confiance et de ses efforts, en lui offrant le veau, pour sa consommation et celle de sa famille.
Il rentra alors chez lui et raconta à son père tout ce qui s’était passé. Puis il demanda au vieil homme :
- Mon père, pourquoi dis-Tu que cet homme si fidèle n’est qu’un demi-Ami ?
- Parce que je ne sais pas encore s’il accepterait de donner sa propre vie pour moi. S’il le faisait, alors je pourrais dire de lui que c’est un Ami entier.
- As-Tu jamais rencontré un homme qui fût un Ami tout entier ?
- Moi ?, non, je n’en ai encore jamais moi-même rencontré, dit rêveusement Ibrahim, mais je crois savoir que cela existe, car j’ai entendu parler d’un cas que je considère être celui d’un Ami entier
- Père ! Je T’en prie ! Raconte-moi ce que Tu sais au sujet d’un Ami entier !
Et c’est ainsi que Ibrahim se mit à relater à son fils Ahmed l’histoire de deux hommes qui, tour à tour, avaient su se montrer, l’un pour l’autre, un véritable Ami :
- L’on m’a raconté que deux hommes, qui habitaient des villes très éloignées l’une de l’autre et, au départ, ne se connaissaient pas personnellement, étaient de grands Amis. La raison de cet état de fait était que leurs pères avaient été de très grands Amis et que cela leur suffisait pour qu’il en soit, pour eux, de même. Un jour, l’un des deux, qui s’appelait Rassan et était commerçant, décida de se rendre dans la ville où vivait le second, qui s’appelait Youssouf et était producteur de spectacles féeriques.
Lorsque Youssouf eut appris, par une caravane l’ayant précédé, que son Ami Rassan était en route vers lui, il alla aussitôt à sa rencontre, le serra dans ses bras, et le conduisit dans sa somptueuse demeure. Alors il donna en son honneur une très grande fête, qui dura une semaine entière et il montra à son hôte toutes ses richesses, qui étaient grandes, ainsi que ses serviteurs – hommes et femmes –, et il lui fit voir ses danseuses dansant avec grâce au son de la musique de ses musiciens, jouant avec Art de nombreuses mélodies orientales.
Huit jours plus tard, juste après la fête, curieusement, Rassan tomba malade. Son amphitryon en fut très affligé et fit venir les meilleurs médecins et les plus grands sages du pays, qu’il connaissait ou dont il avait entendu parler, lesquels examinèrent le malade, mais ne surent, tout d’abord, trouver la cause de son mal. Pour finir, quelques-uns d’entre eux affirmèrent qu’il était, tout simplement, « malade d’amour ».
Aussitôt, Youssouf alla trouver son Ami Rassan et le questionna pour savoir si l’objet de sa Flamme vivait dans sa maison.
Le malade, alité, lui répondit :
- Si Tu me montres toutes les femmes qui habitent chez Toi, je Te désignerai celle que j’aime.
Youssouf fit, tout d’abord, défiler devant lui toutes les danseuses attachées à sa maison pour que son Ami Rassan désigne l’élue de son cœur. Mais le malade d’amour n’en désigna aucune.
Ensuite, Youssouf fit paraître toutes les servantes de sa maison, lesquelles étaient fort nombreuses, mais Rassan n’en trouva aucune à son goût.
Youssouf, qui était veuf, fit alors venir ses propres filles, prêt à lui céder celle qu’il choisirait, mais Rassan n’en choisit aucune.
Youssouf demeura perplexe ; l’état de son Ami empirait, menaçant de devenir fatal, et il s’apercevait avec consternation qu’il ne pouvait rien pour lui.
Toutefois, il se souvint qu’il y avait encore, dans sa maison, une radieuse jeune fille. Elle était, tout simplement, « belle comme la nuit ». Youssouf l’avait recueillie chez lui, en tant qu’orpheline, depuis son enfance ; il ne l’avait, tout d’abord, pas montrée à Rassan, parce qu’elle lui était promise et devait, lorsque le temps en serait venu, devenir sa propre femme. Ce temps n’était plus loin.
Youssouf, voyant qu’aucune autre n’avait suscité l’approbation de Rassan et ne voulant négliger aucune possibilité, se décida enfin, quand même, à la faire appeler et, aussitôt que Rassan la vit, il se dressa sur son séant et s’écria :
- C’est elle !
Après cela, la mort dans l’âme mais sans aucune hésitation, Youssouf expliqua à son hôte qu’il devait voir la jeune fille en aparté, afin de voir s’il pouvait obtenir son consentement.
Les yeux de Rassan brillaient ; il était rempli d’espoir.
Youssouf, faisant un signe à la jeune fille, sortit de la grande salle de réception, aussitôt suivi par elle.
Lorsque, dans un tranquille petit salon privé rose, elle fut seule devant lui, Youssouf, sans préambules, demanda à Fatima (c’était son nom) :
- Voudrais-Tu épouser le seigneur Rassan ?
Fatima le regarda avec un tendre regard et dit :
- Ma volonté est d’accomplir la volonté de Youssouf ; je lui dois tout ce que je suis et tout ce que j’ai.
- Ma volonté est que mon Ami guérisse.
Fatima poussa un léger soupir, presque imperceptible, sourit et dit :
- Alors, par Amour pour Toi, j’épouserai celui que Tu veux que j’épouse.
Sans lui dire que cette jeune fille était, en fait, {prévue} pour lui, c’est ainsi que Youssouf offrit à son Ami Rassan d’épouser Fatima, et il la dota richement, ainsi que c’était l’usage.
Rassan guérit alors très rapidement, épousa Fatima et retourna dans sa ville natale, accompagné de sa jeune et radieuse épouse, qui faisait que tous se retournaient sur leur passage en disant :
- Que cet homme est donc comblé par la vie d’avoir une si magnifique épouse !
Plusieurs années s’écoulèrent, et il arriva alors que Youssouf, qui s’était montré si amicalement généreux envers son Ami Rassan, subit successivement de tels revers de fortune qu’il en vint à être complètement ruiné. L’explication pour cela provenait de ce que les féeries étaient passées de mode, les regards des spectateurs étant désormais tournés vers ce qui se faisait à l’Occident.
Il se dit alors :
- Je vais aller trouver mon Ami, auquel j’ai jadis offert mon hospitalité et à qui j’ai permis de guérir en lui donnant ma bien-aimée comme épouse. Il aura certainement de la compassion pour moi et pourra me secourir en ces jours d’adversité...
Et Youssouf se mit en route, dépourvu de tout, y compris du plus nécessaire. Il marcha longtemps, pendant des jours et pendant des semaines, et atteignit enfin le but de son voyage (il avait espéré arriver avant la tombée du jour), alors que c’était le milieu de la nuit. Il décida alors d’attendre qu’il fasse jour pour se rendre à la belle maison de son Ami Rassan et s’allongea – car sa fatigue était extrême – sur le bord du chemin, à l’entrée de la ville de Rassan, pour se reposer.
à peine était-il allongé sur le sol sablonneux que des hommes de la ville arrivèrent. Ils étaient lancés à la poursuite d’un meurtrier, lequel, par cupidité, avait assassiné un riche négociant de la ville. Ils étaient très frustrés, parce qu’ils le cherchaient depuis deux jours et ne le trouvaient pas. Voyant l’étranger, exténué, allongé au bord de la route, l’un s’écria :
- C’est lui ! Regardez comme il a l’air abattu après son forfait !
Youssouf fut réveillé par les cris et se dressa un peu ; il était tellement fatigué et se sentait tellement éreinté qu’il n’eut pas la force, ni même l’envie, de se défendre.
Ils se saisirent de lui et le traînèrent donc jusqu’à la prison de la ville, où il fut placé, derrière les barreaux, dans une cellule isolée, en laquelle il se rendormit pesamment sur une couche très dure (une planche fixée au mur par des crochets et des chaînes, avec un peu de paille dessus) et, le lendemain, il fut conduit devant le tribunal, qui, pour toute forme de procès, et, faute d’avocat, sans qu’il puisse se défendre ni plaider son innocence, le condamna à avoir la tête tranchée par une hache, afin de servir d’exemple aux autres.
L’exécution devait avoir lieu dès le jour suivant, en fin de matinée. Étant donné que dès le début de la matinée des hérauts avaient défilé dans les rues pour annoncer l’exécution publique, une grande foule s’était rendue sur la place centrale de la ville pour assister à la décapitation ; au milieu de cette foule, passant par là « par hasard », se trouvait, oui, … Rassan, dont Youssouf s’était montré un si fidèle Ami.
Quand il vit qui était celui qu’on allait pendre et qui attendait si placidement son sort, il reconnut son Ami Youssouf et il se souvint aussitôt de sa fidélité, de sa générosité et de tous les bienfaits qu’il avait reçus de lui.
D’un trait il fendit la foule, se dirigeant vers l’esplanade où devait avoir lieu l’exécution et où le bourreau cagoulé affûtait déjà tranquillement sa hache…
- Pourquoi donc voulez-vous décapiter cet homme ? s’écria-t-il à l’adresse des juges présents pour l’exécution. Ce n’est pas lui le meurtrier !
- Comment pourrais-Tu le savoir ? Il a été jugé et reconnu « coupable » ! (c’était le cas de le dire !), dit le plus ancien des trois juges présents, et c’est pourquoi sa tête doit être coupée !
Rassan, qui savait, sans qu’il soit besoin d’un seul mot de lui, que, bien évidemment, Youssouf était totalement innocent du crime crapuleux qu’on lui reprochait, comprit alors aussi soudainement qu’il ne pourrait rien {faire} pour {sauver} son Ami, s’il ne mettait pas aussitôt dans la balance un irréfutable argument, pesant un très grand poids !
- Je le sais pour une très bonne raison, dit Rassan : Le coupable, … c’est … moi !
Alors, passé le premier moment de surprise muette, les trois juges se concertèrent rapidement, puis l’ancien s’adressa de nouveau à Rassan :
- Tu Te rends compte de ce que Tu viens de dire : Nous pouvons, suite à Ta déclaration, immédiatement T’arrêter et Te faire décapiter, séance tenante, à la place de l’accusé !
- Oui, je le sais parfaitement ! dit Rassan sans {sour}ciller.
Les trois juges se concertèrent de nouveau rapidement, puis ordonnèrent aux soldats présents pour l’exécution de relâcher l’homme qu’ils étaient sur le point de faire décapiter par le bourreau et de procéder à l’arrestation de celui qui, devant toute la foule présente, venait d’avouer son crime.
Rassan grimpa alors de son plein gré sur l’estrade, tendit ses poignets aux soldats pour qu’ils l’enchaînent et se prépara donc à perdre la tête et la vie, à la place de son ami Youssouf.
Mais, une fois passé le premier moment de stupeur, Youssouf, qui, une fois libéré, avait commencé à se précipiter vers Rassan pour l’embrasser et le serrer contre son cœur, après un seul pas, s’arrêta net dans son élan, et, regardant les juges et la foule, cria fortement :
- Il est impossible que cet homme soit le meurtrier, puisque je suis le meurtrier !
- Et pourquoi ne l’as-Tu pas dit au cours de Ton procès ? demanda l’un des juges, qui commençaient à perdre leur arabe…
- Et pourquoi, demanda le troisième juge en désignant Rassan, cet homme voudrait-il être exécuté et mourir à Ta place ?
- Parce que…, dit Youssouf, hésitant, et regardant soudainement Rassan dans les yeux, cet homme est … mon Ami !
- C’est faux ! s’écria alors Rassan, je ne connais pas cet homme ! Je ne l’ai jamais vu ! Si je veux être exécuté, c’est uniquement parce que je suis le criminel, que le remords me torture et que je ne peux plus vivre, sur cette Terre, avec ce crime sur la conscience ! Cet homme, que je ne connais pas, n’a absolument rien à voir avec mon crime !
De plus en plus perplexes, les trois juges se demandaient comment ils allaient se sortir de cette fort embarrassante situation, lorsque la solution arriva de l’extérieur
Dans la foule massée sur la place se trouvait, en effet, le véritable assassin, qui, médusé, regardait deux hommes s’affronter pour se faire décapiter à sa place ! Personne, ici, ne le connaissait, car il était venu d’une ville voisine. Il voyait, avec le plus grand abasourdissement qui soit, deux innocents voulant mourir à la place l’un de l’autre, alors que lui seul – il était bien placé pour le savoir ! - était le coupable.
En proie à une irrépressible insurrection de sa conscience, il se mit à hurler :
- Ils sont innocents tous les deux !
Devant ce nouveau rebondissement de cette fort étrange affaire, tous les regards de la foule jusque là rivés vers l’estrade se tournèrent alors vers lui.
Le meurtrier, qui était de taille moyenne, regrettait presque, maintenant, d’avoir attiré l’attention sur lui et s’apprêtait à fuir, mais il fut intercepté par un fort gaillard, qui, aidé par d’autres, l’amena jusque devant les juges, sur la plate-forme.
- Pourquoi dis-Tu que ces deux-là sont innocents ? questionna le plus vieux juge.
Devant l’absence de réponse du lascar, le deuxième juge le questionna à son tour :
- Ne serait-ce pas Toi, par hasard, le vrai coupable ?
- ….
Le meurtrier, pris de tremblements, ne pouvait plus {rien} répondre ; soit il disait « non » et mentait, tout en risquant de ne pas être cru et de ne plus pouvoir innocenter les deux autres, soit il disait « oui » et sa tête allait bientôt être posée sur le billot, lequel se trouvait juste sous ses yeux… À travers les fentes de la cagoule, il aperçut soudain le regard cruel du bourreau et il frémit. Il s’écria alors :
- Non ! Ce n’est pas moi !
- Alors, qui est-ce ? questionna le troisième juge.
- C’est … quelqu’un d’autre !
- est-il ? Qui est-il ? Comment s’appelle-t-il ?
- … Je ne sais pas !
- Si ! Tu le sais !
Alors, il s’effondra :
- Oui, je le sais ! sanglota-t-il.
- Alors, qui est-ce ? dit le plus vieux juge, en faisant signe à deux soldats de le saisir et de l’agenouiller devant lui.
Maintenu, par de fortes mains, à genoux devant son juge, enfin, le meurtrier craqua :
- C’est…, c’est … moi !
Puis il s’affaissa sur le sol.
Lorsque les juges eurent entendu cet incontestable aveu, ils ordonnèrent l’arrestation et la condamnation immédiate du criminel, pour pouvoir enfin procéder à l’exécution tant attendue par la foule et ils firent libérer Youssouf et Rassan.
Rassan conduisit alors aussitôt son Ami Youssouf dans sa maison. Il lui offrit à manger, à boire, à se vêtir.
Puis, très vite, et en dépit de toutes les protestations du bénéficiaire, il lui donna toute sa fortune et lui céda même sa maison…
Pour finir, il lui donna aussi, oui, … sa femme !
Car il avait reconnu que le cœur de Fatima, bien que fidèle et dévoué envers lui, depuis toujours, aimait, en fait, Youssouf !
Et il partit, seul, dans la montagne, vivre une vie d’anachorète… Il avait, en effet, besoin de longuement méditer au sujet du destin de l’être humain et au sujet de Celui Qui a fait des Lois par lesquels les êtres humains peuvent eux-mêmes se juger et se racheter…
Son récit terminé, Ibrahim, le regard embué et perdu dans les nuées, se plongea dans un très long silence, puis, pour finir, la voix cassée par l’émotion et sans regarder Ahmed, sur les joues duquel ruisselaient de grosses larmes, il le questionna en ces termes :
- Sais-Tu, maintenant, mon fils, ce qu’est un véritable et entier Ami ?





ÂÎÑ ÊÚÏíá ÎÇÏã ÇáãäÊÏì íæã 2014-02-28 Ýí 23:29.
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ÞÏíã 2014-02-28, 23:32 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 239
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L'amitié ( ami )

L'amitié, notion complexe aux facettes diverses

D'après monsieur le dictionnaire, l'amitié c'est : « un sentiment réciproque d'affection ou de sympathie qui ne se fonde ni sur les liens du sang ni sur l'attrait sexuel ».
Cette définition de monsieur le dictionnaire Larousse est-elle exacte ????
Savons nous bien définir ce mot ??? Chacun à sa propre conception de l'amitié suivant son vécu et ses expériences.

Mais l'amitié comment cela fonctionne t'il ?
On ne sais pas comment, on ne sais pas pourquoi, ça fonctionne tout seul et sans mode d'emploi.
Faut-il juste que le "feeling" passe entre deux personnes? Ou bien est-ce plus profond que cela?
Les amitiés vont et viennent pour chacun d'entre nous, certaines durent, d'autre moins.
Mais l'amitié vraie et profonde est une denrée bien rare, surtout avec la vie que nous menons, à courir dans tous les sens. Des fois on croit en une amitié vraie et sincère et souvent c'est le désappointement total.
Pour ma part voici comment je conçois l'amitié.
L'amitié, est un sentiment très profond, qui se partage entre des personnes qui s'estiment pour ce qu'elles sont vraiment, avec leurs qualités et leurs défauts.
Ce sentiment qu'il y a entre ces personnes, fait qu'il y a un lien de s'apprécier, même si elles ont des avis différents.
Le véritable ami, c'est la personne qui est là, en tout temps, par son écoute, sa tendresse.
Mais les vrais amis, qui sont-ils ? Comment peut-on peut les reconnaître?
Vos vrais amis sont ceux devant qui vous ne craignez pas de vous rendre ridicule parce que vous pleurez (pour une raison grave ou bidon). Ce sont ceux qui, même s'ils sont loin, pensent toujours à vous envoyer un message ou une carte postale pour votre anniversaire, pour vous montrer où ils sont, ou simplement pour vous demander de vos nouvelles.
Les vrais amis sont des complices, des confidents, ils ne sont jamais jaloux de nous, bien au contraire, ce sont des personnes qui se réjouissent vraiment de notre bonheur et de notre réussite.
Les vrais amis peuvent faire des centaines de kilomètres sur une journée, juste pour venir vous encourager dans une épreuve ou vous tenir la main dans les mauvais moments.
Ils sont là pour vous pousser hors de vos limites et vous rendre meilleurs. Ils supportent votre sale caractère et vos défauts.
Ce sont ceux qui vous disent toujours la vérité, même s'ils savent que cela fera mal.
Les vrais amis sont toujours présent, le jour ou la nuit, à n'importe quel moment, sans jamais rien demander en retour.
Les vrais amis emmènent dans leurs tombes, vos confidences intimes, sans jamais vous avoir trahi.
Et enfin, un vrai ami est celui qui pourra toujours refaire sa vie ailleurs, mais qui ne pourra jamais rester longtemps sans donner de ses nouvelles.
Avoir de vrais amis, même si vous en avez qu'un seul, est l'une des choses les plus importantes au monde, c'est un trésor incommensurable.
Oui, avoir des amis c'est très précieux! Tes amis t'acceptent pour qui tu es et t'aident lorsque tu en as besoin. Ils respectent tes opinions et tes préoccupations, et vice versa.
J'ai des relations superficielles avec des personnes, mais je n'appellerais certainement pas cela des amis, mais simplement des copains ou copines.
Mais heureusement, j'ai de vrais amis, je les compte sur les doigts d'une main.
Il y en a qui, lorsque je les ai rencontré ça ne passait pas, nous étions plutôt en confrontation, et avec le temps nous nous sommes rapprochés de plus en plus, nous avons fait plus amples connaissance, nous apperçevant que nous avions beaucoup de point communs, et petit à petit, le temps à fait de nous, de vrais amis dans tous les sens du terme.
Je n'attends pas d'eux des services forcés sous le signe de l'amitié, ni d'obligation de donner des nouvelles parce que les convenances de l'amitié le veulent, mes amis sont mes amis.
Je ne mes sens pas l'obligation de justifier mes silences, ni les leurs.
Je sais que quoi qu'il arrive et le moment venu, nous sommes là les uns pour les autres.
Nous avons pour la plupart des "vies" bien différentes...mais n'empêche que les rapports avec mes amis restent simples, sans chichis, sans obligations, sans rendus, sans attentes.
Si besoin est, un service est rendu, l'accompagnement dans les moments difficiles, dans les moments de joie aussi, sans jamais se sentir redevable de quoi que ce soit, et quoi qu'il arrive surtout, on ne se juge pas.
L'amitié c'est la douceur, c'est le don de soi, c'est d'abord et avant tout l'authenticité et la simplicité. Ce n'est pas avoir peur de la réaction de l'autre, ce n'est pas changé pour faire plaisir à l'autre, c'est « être » tout simplement, c'est rester soi-même en toute circonstance.
Dans l'amitié, on apprend de l'expérience de l'autre et aussi de ses différences.
Pour moi, la véritable amitié est la forme la plus parfaite de l'altruisme. Alors n'hésitez pas à de solliciter l'aide d'un ami, lorsque vous en avez besoin, car sachez que si c'est un véritable ami, pour lui, donner est aussi gratifiant que de prendre.
Et n'oublie pas que tout le monde entend ce que tu dis,
Que tes amis écoutent ce que tu dis,
Mais tes meilleurs amis découvrent ce que tu ne dis pas.


http://www.la-foret-des-elfes.com/amitie.htm






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ÞÏíã 2014-02-28, 23:35 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 240
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les vrais amis sont rares et précieux ツ






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