.Dans toute administration,il y a des abus de pouvoir.Le législateur a prévu des sanctions ,et a garanti des droits aux uns et aux autres.Inculper,à tort et à travers,une couche de fonctionnaires qui sont,après tout ,vos collègues et dont la fonction peut être la votre,un jour,relève de la calomnie.Toutes les décisions prises par le directeur .d'école font l'objet d'un dialogue au sein du conseil de gestionمجلس التدبير)
Il fut un temps,avant les années 90, où le directeur gérait seul la cantine scolaire,la coopérative,etc ....Inspecteurs et directeurs dictaient leurs lois aux instituteurs,avec la bénédiction des délégations.Le directeur,d'un niveau d'instruction très modeste ,et très heureux d’être là où il était,appliquait à la lettre ce qu'on lui dictait.L'inspecteur, maître incontesté du destin de l'instituteur ,note et mouvement oblige,faisait la pluie et le beau temps.Les délégations étaient ,à l'époque,un" domaine privé" où tout était imaginable.
Aujourd'hui,la plupart des directeurs ont un niveau d'instruction élevé.Ils ont acquis le métier en enseignant dans les régions les plus reculées.Ils n'ont besoin de quiconque pour leur donner de leçons.Ils ont crée leur propre association.Ils défendent leurs intérêts.Ils ont décidé d'aller le plus loin possible.Ils sont prêts à déposer les clés de cette "maudit" idara.La classe ne leur fait pas peur.
Soyez certain,cher monsieur,que votre article n'altère en rien la détermination des "instituteurs chargés de direction "