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ÞÏíã 2010-08-08, 02:37 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 1
pianiste des merveilles
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b2 Dimensions philosophiques de la mort


Des sujets métaphysiques qui nous incitent à poursuivre le sentier de la vérité, même ci cette dernière nous parait une fumée impossible de l’atteindre mais le fait de y penser est un mécanisme vers cette vérité qui est dans la plupart des temps incomplète ou traiter selon de divers réflexions.
De l’ontologie vers la métaphysique sur le néon, l’existance, l’acte de penser avec ses trois phases selon Hegel la pensée ; un fait humain …..
J’ai choisi le thème de la mort dans la philosophie sept réflexion juste pour connaître la réflexion de l’autrui à un certains moment, temps de l’histoire.
Nous des musulmans, notre religion a déjà expliqué la thématique et son influence sur le parcours de la vie humaine ainsi que ce mot « Mort » c’est l’annonce d’une autre vie



1. La mort est un mot dépourvu de sens, personne ne sait ce que c’est et on ne saura jamais. Doctrine du rationalisme critique (Bachelard, Wittgenstein).


2. la mort est une intuition vitale d’une fin de la vie que tout être vivant peut pressentir. (cf. Edgar Morin, l'instinct de mort).


3. La mort est un fait biologique, celui que nous voyons dans le cadavre. (Doctrine du matérialisme biologique, définition clinique de la mort selon la médecine actuelle).


4. La mort est un processus spirituel dont il existe une trace dans une expérience intime. (Recherche des régressions sous la mémoire).


5. La mort est un moment qui fait partie de la Manifestation de la Vie, au même titre que la naissance et d’une Vie qui est par nature immortelle. (Schopenhauer).


6. La mort est l’aboutissement de l’existence en tant qu’elle disparaît dans la non-existence. (Doctrine du matérialisme athée, Epicure, Heidegger).


7. La mort est une étape dans la destinée spirituelle de l’âme. (Doctrine du spiritualisme en philosophie cf. Platon, Bergson, et doctrine religieuses, dans l'Islam, le bouddhisme, le christianisme etc.).





MERCI POUR LE PASSAGE





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Comprendre une personne c'est déjà lui parler. Poser l'existence d'autrui en la laissant être, c'est déjà avoir accepté cette existence, avoir tenu compte d'elle.
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