ãäÊÏíÇÊ ÇáÃÓÊÇÐ ÇáÊÚáíãíÉ ÇáÊÑÈæíÉ ÇáãÛÑÈíÉ : ÝÑíÞ æÇÍÏ áÊÚáíã ÑÇÆÏ

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admin 2009-04-08 05:26

Le texte narratif
 

Le texte narratif
Le texte narratif est une texte qui peut être réel ou imaginaire. Il comprend en son sein un processus de transformation. Il peut être écrit de façons très différentes ce qui peut le rendre assez complexe selon le schéma narratif qu'il suit et le point de vue de la narration qu'il adopte. On le retrouve surtout dans trois genres : le roman, le conte et la nouvelle.
1. Définition
Le texte narratif appelé aussi récit est une histoire qui peut être réelle ou fictive : récit d'aventures, récit historique, récit merveilleux... Il est raconté par un narrateur soit à la 1re (je) ou 3e personne (il, elle), selon qu'il est ou non impliqué dans le récit.
2. Identification
Le texte narratif décrit une succession de faits qui s'enchaînent. Les verbes d'action et de mouvement renseignent sur la progression de l'histoire, à laquelle participe(nt) un (ou plusieurs personnages). Celui qui raconte ; le narrateur peut, lui aussi, être un personnage de l'histoire qu'il raconte.
L'histoire se déroule en un temps et un lieu donnés d'où l'utilisation de compléments circonstanciels de lieu et de temps définissant le cadre spatio-temporel de l'action. Parfois, le temps auquel les verbes sont employés suffit à suggérer la durée.
NB : verbes au passé simple = récit ; mais tous les récits ne sont pas tous au passé simple !
3. Structure du récit
La situation du texte évolue. Cette évolution peut être plus ou moins codifiée sous la forme d'un découpage traditionnel, appelé schéma narratif dans lequel on distingue :
- la situation initiale du récit ;
- l'élément perturbateur (ou déclencheur) qui vient troubler cette situation initiale ;
- les péripéties (ou actions) qui sont une série de réactions à cette perturbation ;
- l'élément de résolution : une force équilibrante vient stabiliser la transformation ;
- la situation finale (ou dénouement) qui clôt, momentanément ou définitivement, le récit.
4. Point de vue dans le récit
La narrateur a le choix de se placer à l'intérieur ou à l'extérieur de l'histoire. S'il est à l'intérieur, le lecteur n'a qu'un champ restreint de perception : les dialogues, les faits et gestes des personnages. La narration est alors neutre et objective. On parle alors de focalisation externe.
S'il est à l'extérieur et rapporte la scène à travers les yeux d'un personnage (ou de lui-même s'il est impliqué dans l'histoire), il s'agit d'une focalisation interne (narration à la 1re personne).
S'il donne une vision complète des personnages et de la situation, on parle de focalisation zéro. La narration est enrichie d'explications psychologiques et de détails sur les événements antérieurs ou sur ceux qui se produisent dans des lieux différents.
NB : un texte peut combiner différents points de vue !
5. Complexité du récit
La récit ne suit pas toujours la chronologie de l'histoire. On trouve parfois dans le texte narratif des retours en arrière sur des événements passés ou des anticipations sur la suite de l'histoire. De la même manière, le narrateur peut laisser la place à un long développement pour un fait ponctuel ou, au contraire, laisser dans l'ombre tout un épisode de l'histoire. On parle alors d'ellipse.
Sur le récit, on peut aussi trouver d'autres récits ou d'autres types de textes : discours, descriptions, dialogues. Tous ces éléments extérieurs montrent combien est complexe un texte narratif.
Le schéma narratif
Le schéma narratif est l’ensemble des données fondamentales indispensables pour qu’il soit compréhensible. Il constitue le récit minimum, la charpente de l’histoire. (image)
La situation initiale présente les éléments nécessaires à la mise en route du récit et à la compréhension de celui-ci.
L’élément modificateur ou force perturbatrice change, modifie la situation initiale.
Les péripéties ou transformations sont l’ensemble des événements provoqués par l’élément modificateur et qui entraînent la ou les actions entreprises par les héros pour atteindre son (leur) but.
Les péripéties sont les derniers éléments modificateurs qui mettent un termes aux actions et conduisent à la situation finale.
La situation finale est le résultat, la fin du récit.





Le texte narratif

Type de texte dans lequel on décrit une action, imaginaire ou réelle, présente ou passée, dans laquelle on peut mettre en évidence un déroulement non seulement temporel, mais aussi causal. Le texte narratif repose sur la notion de chronologie.

Des exemples de textes narratifs
- le reportage
- le fait divers
- le récit (historique...)
- la BD
- le roman (policier, d'aventures, historique, d'horreur, de science fiction...)
- la nouvelle
- le conte

Exemple de schéma narratif (conte, nouvelle...)

Situation initiale = équilibre Situation de départ, stable, sans événement particulier
Elément déclencheur Un événement vient rompre l'équilibre de départ, l'histoire commence vraiment
- Action(s)
- Réaction(s)
Dénouement Le héros, ou un événement inattendu résolvent le problème
Situation finale = équilibre La situation finale est marquée par le retour à un nouvel équilibre

Les temps de conjugaison employés

Temps du récit Passé simple (elle s'écria, elle dit, ils s'en allèrent...)
Imparfait (ils s'amusaient, on regardait...)
éventuellement
Temps du dialogue Présent (je vois, nous arrivons...)
Passé composé (j'ai compris, ils sont partis...)

On remarquera :
Le texte narratif a toujours un titre, il comporte souvent plusieurs personnages dont le héros (qu'on appelle le narrateur lorsque c'est lui qui est l'auteur et qu'il se désigne par le pronom je. Le texte narratif comporte souvent des passages d'un autre type ( informatif, prescriptif, poétique, descriptif, des dialogues...)


admin 2009-04-08 05:32

La boite à merveilles
 

admin 2009-04-08 05:37

Les types de textes
 

admin 2009-04-08 05:43

La planète des singes
 

admin 2009-04-08 05:47

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admin 2009-04-08 05:51

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admin 2009-04-08 05:53

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admin 2009-04-08 05:54

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admin 2009-04-08 05:56

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admin 2009-04-08 05:57

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admin 2009-04-08 06:04

Peut-on sauver la dictée ?
 
Bête noire de nombreux élèves, la dictée est souvent associée aux pires souvenirs d'école. Mal comprise, mal jugée, elle apparaît même pour certains comme un exercice sans intérêt, vestige d'un enseignement dépassé. La dictée est pourtant loin de se limiter à une simple évaluation de l'orthographe. Constituant à elle seule une activité pleine de richesses quand elle est traitée de façon constructive et régulière, elle s'intègre naturellement dans la séquence et sert parfaitement les objectifs visés par le cours de français, en matière de lecture, d'écriture, de langue et d'oral.

Une épreuve mal comprise

La dictée est victime de nombreux a priori. Les élèves pensent qu'ils ne peuvent pas changer leurs résultats. Pour eux, l'épreuve renvoie forcément à une compétence orthographique, pour laquelle on serait « nul » ou plus rarement « excellent » de façon irrémédiable, naturelle, voire génétique. De plus, il s'agirait d'une évaluation truffée de pièges, sorte de performance technique à réaliser. Malheureusement, les célèbres dictées médiatisées de Bernard Pivot ne font que renforcer cette fausse représentation. Surtout, l'exercice serait artificiel et dénué d'intérêt. Le pire est que certains professeurs de collège semblent leur donner raison en ne faisant pas ou peu de dictées en classe.



La dictée ne relève cependant pas de la prouesse orthographique. Si elle est présente au Brevet des Collèges et dans de nombreux concours administratifs, c'est qu'elle offre le moyen d'évaluer des compétences de langue (incluant grammaire au sens large, vocabulaire et orthographe), de lecture, de compréhension de texte et de concentration, le tout en un temps limité. Rappelons le barème appliqué à une copie au Brevet. Sur 20 points, on en enlève 2 pour une faute de grammaire, 1 pour une faute d'orthographe et 0,5 pour une faute d'accent ou de majuscule, cette note globale étant ramenée ensuite sur 5 points.

On le voit, ce sont les erreurs liées à la grammaire qui sont les plus sanctionnées. Il s'agit essentiellement de la correction de la terminaison des verbes et du respect de la chaîne des accords autour du nom. Les fautes d'orthographe ne viennent qu'au second plan. D'ailleurs, les dictées de Brevet ne comportent a priori pas de mots très difficiles à orthographier et les plus compliqués sont notés au tableau.

D'autre part, l'élève doit bien utiliser les majuscules, mettre les accents, les points sur les « i » et les signes de ponctuation. Les erreurs en la matière, commises par négligence ou inattention, s'additionnent et coûtent cher, faisant basculer du médiocre au catastrophique. L'élève faible peut donc assez facilement « limiter les dégâts » en fournissant un effort de concentration et de soumission aux règles de l'écrit.

Pratiques en classe

Pour bien écrire, il faut évidemment s'entraîner. En classe, la « dictée traditionnelle » ne s'avère souvent pas probante car les élèves n'arrivent pas à se « relire » efficacement et progressent peu après la correction. De même, la « dictée préparée » avoue ses limites, favorisant davantage la mémoire des élèves studieux qu'un réel apprentissage de la langue. L'exercice de « commentaires orthographiques » semble plus intéressant puisqu'il exige une justification mais celle-ci passe par le métalangage, souvent mal maîtrisé. Les « textes mal écrits » à rétablir correctement ou les « dictées-activités » régulières constituent quant à eux des outils privilégiés.



La dictée-activité : pour l'acquisition d'une méthode de relecture active et un échange constructif

La dictée-activité est une dictée non notée, dont la relecture est guidée par les questions orales du professeur et qui comprend ensuite un échange de points de vue avec un camarade, suivi d'une correction collective.

L'élève relit d'abord son texte de manière individuelle et le corrige au mieux, invité par l'enseignant à rectifier ses erreurs de façon progressive, en s'interrogeant sur les codes de l'écrit, la grammaire phrastique et textuelle (verbes conjugués, temps, sujet, référence des pronoms, accords des adjectifs...) et les mots. Précisons que rapidement l'enseignant n'a plus besoin de donner de directives : à force d'entraînement, les élèves acquièrent une méthode de relecture qu'ils réinvestissent même en rédaction.

Dans un deuxième temps, l'élève réfléchit avec un camarade. En binômes, les élèves comparent ainsi les copies, justifient mutuellement leurs choix et débattent à voix basse pour parvenir à une solution argumentée. On constate que le travail est à cet instant aussi actif que performant. Surtout, la correction qui suit s'avère efficace car mieux suivie par l'ensemble des élèves. Ils ont à coeur de voir « qui des deux avait raison ». Les notions sont mieux enregistrées et de façon durable. C'est l'occasion d'effectuer de multiples révisions comme les valeurs des temps, les propositions subordonnées ainsi que les familles de mots.

On peut même rendre les élèves encore plus actifs dans leur apprentissage. Ainsi, l'un est désigné pour établir le texte de la future dictée. Il doit choisir un passage formant un tout cohérent et ayant un rapport avec la séquence en cours, s'appliquer à le recopier sans faute et le remettre au professeur en argumentant brièvement son choix. Une fois l'accord obtenu, l'élève prend en charge la dictée, effectuant un travail de lecture expressive puis d'expression orale.

Ces dictées-activités sont particulièrement appréciées par les élèves grâce à leur aspect ludique et aux progrès qu'elles leur permettent de réaliser. Elles favorisent en outre une étude littéraire avec une entrée par la langue. Les élèves ont écrit le texte, ils ont réfléchi sur son fonctionnement grammat

admin 2009-04-08 06:05

La pÉdagogie du projet.
 
LA PÉDAGOGIE DU PROJET.

admin 2009-04-08 06:06

Un module complet sur "Il était une fois un vieux couple heureux"
 

Un module complet sur "Il était une fois un vieux couple heureux"
de Mohammed Kheir eddine. ici

admin 2009-04-08 06:07

Séquence complète sur "Le dernier jour d'un condamné'
 
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admin 2009-04-15 03:01

ÇáÝÑäÓíÉ
 
La planète des singes http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif La boîte à merveilles http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif ANTIGONE http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNÉ http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif Antigone de Jean Anouilh http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif Dictionnaire de l'argot http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif PLANETE (version1) http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif Dossier sur la peine de mort http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif Exposés : La planète des singes, Pierre Boulle http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif PLANETE (version 2) http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif Exposés : Le dernier jour d'un condamné, Hugo http://www.achamel.info/Lyceens/images/dd.gif Exposés : La boite à merveilles, Ahmed Sefrioui

ãÇÑíã 2009-04-20 18:19

ÑÏ: ÇáÝÑäÓíÉ
 
Merci beaucoup pour Tes bons efforTs


ÇáÓÇÚÉ ÇáÂä 23:56

ÌãíÚ ÇáãæÇÏ ÇáãäÔæÑÉ ÈÇáãæÞÚ ÊÚÈÑ Úä ÃÕÍÇÈåÇ ÝÞØ æáÇ ÊÚÈÑ ÈÃí Ôßá ãä ÇáÃÔßÇá Úä ÑÃí ÇáãæÞÚ æáÇ íÊÍãá Ãí ãÓÄæáíÉ ÚäåÇ

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