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ÝÚÇáíÇÊ ÕíÝ 2011 Úáì ãäÊÏíÇÊ ÇáÃÓÊÇÐ : ãÓÇÈÞÉ ÇÓÊæÞÝÊäí ÂíÉ | æÑÔÉ : äÍæ ãÝåæã ÃãËá ááÒæÇÌ

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ÅÖÇÝÉ ÑÏ
 
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ÞÏíã 2010-12-22, 11:51 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 1
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ÇÝÊÑÇÖí la didactique de la communucation ( suite



Les approches communicatives

Les approches communicatives se développent donc à partir de plusieurs facteurs:
- une critique, tant au niveau des principes théoriques que de la mise en œuvre des méthodes audio-orales (MAO) et des méthodes audiovisuelles (MAV);
- l’utilisation d’outils nouveaux permettant de définir les besoins des étudiants et les contenus d’enseignements;
- une évolution méthodologique qui intègre des principes différents quant aux progressions, documents et techniques de classe.
Il ne s’agit plus seulement d’apprendre en situation le système de la langue, mais d’apprendre à communiquer en se référant tout autant au code linguistique qu’aux règles sociales et culturelles qui dans un milieu donné régissent l’échange langagier.
L’approche communicative recentre l’enseignement de la LE(langue étrangère) sur la communication. Il s’agit donc pour l’étudiant d’acquérir une compétence de communication.
Ainsi, un certain nombre de “programmes de langue” ont essayé de prendre en compte la dimension communicative du langage, à partir des données de la sociolinguistique, de la sémantique et de la pragmatique (Austin).
Il est est question d’optimiser l’enseignement et l’apprentissage du français en l’adaptant régulièrement aux conditions scientifiques et socioculturelles via des actes de parole , sous-tendus par des compétences communicationnelles et langagières, aussi bien en réception qu’en production, orale et/ou écrite(traiter activement l’information pour construire du sens, produire une communication orale ou écrite qui soit correcte, claire, organisée et efficace, transmettre, reformuler- paraphraser-,adapter un message existant à des contraintes proposées, participer positivement dans des échanges interactifs en direct ou à distance(cf Schéma de la communication de Kerbrat-Subjectivité dans le langage).
Il s’agit d’apprendre non pas simplement à produire des phrases dans une langue étrangère, mais à communiquer dans cette même langue.
Dans cette optique, l’enseignement d’un savoir linguistique “ouvert” ne suffit plus : on doit viser l’apprentissage de savoir-faire langagiers, de comportements (langagiers) remplissant différentes fonctions pour réaliser des projets, des objectifs de communication(objectifs fonctionnels) en connaissance de cause,en sachant s’adapter aux circonstances concrètes de l’échange tel que l’exige une situation de communication universitaire, authentique ou simulée.
diverses composantes de la compétence communicative:
1_ la compétence linguistique : habileté à interpréter et à appliquer les règles du code linguistique dans une situation de communication.
2_ la compétence sociolinguistique : habileté à interpréter et à utiliser différents types de discours en fonction d’une situation de communication.
3_ la compétence socioculturelle : habileté à interpréter et à utiliser les objets culturels liés à une situation de communication
4_ la compétence référentielle : habileté à interpréter et à utiliser des domaines d’expérience, des objets du monde et de leurs relations dans une situation de communication
5_la compétence stratégique : habileté à utiliser des stratégies verbales et non-verbales pour maintenir le contact avec les interlocuteurs et gérer l’acte de communication en fonction de l’intention des locuteurs.
Selon un spécialiste :
* “le même sujet, confronté à des situations de communication différentes, peut être très adéquat et efficace dans certaines, maladroit et inefficace dans d’autres ; sa compétence de communication est donc définie par rapport à des familles de situations ;
* dans la même situation, sa “ performance globale ” met en jeu de multiples opérations langagières, dont les unes sont mieux maîtrisées que d’autres et qui contribuent donc diversement à la performance globale. “
La didactique des langues (fle bien entendu)
Remarque: Parler de la didactique de la communication incite à évoquer la didactique des langues.
Quelques fonctions:
* conceptualise des capacités langagières et des capacités de communication (voire d’agir communicationnel), en les distinguant les unes des autres ;
* s’intéresse aux situations de la vie qui sollicitent fortement la communication verbale, voire non verbale, aux compétences mises en jeu et participe à leur conceptualisation, … ”.
Bien entendu, les linguistes et les didacticiens se sont depuis longtemps intéressés aux interactions sociales et aux situations dans lesquelles les échanges verbaux sont cruciaux.
La notion de compétence (Rappel)
Pour Le Boterf :
La compétence ne réside pas dans les ressources (connaissances, capacités…) à mobiliser mais dans la mobilisation même de ces ressources. La compétence est de l’ordre du “ savoir mobiliser ” (Le Boterf, 1994, p. 16).
L’analyse retrouve ici des savoirs théoriques (connaissances déclaratives et procédurales, en général verbalisables), et des savoirs d’action (savoir-faire, à la limite des routines en général ).
Récapitulatif des compétences relationnelles clés.
Tous les éléments constitutifs de l’autorité relationnelle (leadership pour les anglicistes) sont intéressants à renforcer. Ces éléments sont source de progression permanente pour la vie. Qu’est-ce qui fait que l’on perçoit l’autorité relationnelle d’une personne ?
La responsabilité est un élément déterminant. Il s’agit de la façon dont l’individu face à une situation problématique cherche à trouver les causes et les solutions en n’étant pas toujours en train de les chercher hors de lui. (…).
Le sens de la responsabilité d’une personne croît quand elle fait attention à ses relations sur quatre niveaux : ce qu’elle dit, ce qu’elle fait, ce qu’elle laisse dire et ce qu’elle laisse faire.
L’initiative relationnelle : c’est la capacité à savoir clairement ce qu’on veut, ce qu’on pense, à dire ou à demander pour soi. Elle s’oppose à la soumission et au désir premier de faire plaisir aux autres.
L’écoute active : capacité à s’intéresser vraiment à l’autre et à se départir de ses a priori.
L’autonomie : connaissance de ses forces et acceptation de ses limites. Capacité à alerter à temps quand des difficultés personnelles font jour et à se faire aider sans se sentir minable. L’autonomie se distingue des comportements dépendants et indépendants.
La force de conviction : très connectée à la qualité de l’écoute, c’est la capacité à développer des propos qui prennent en compte le point de vue de l’autre tout en faisant état de sa propre conviction. C’est savoir parler pour être compris et non parler pour se faire plaisir !
La capacité à conduire des confrontations quel que soit le statut de l’interlocuteur.Il s’agit là, de la capacité à ne pas laisser des désaccords dans le flou, à ne pas laisser se développer des conflits larvés.
La capacité à ne pas pérenniser des dysfonctionnements latéraux : c’est le cas des collaborateurs qui osent dire à un collègue leur point de vue sur un mode de fonctionnement qu’il trouve inadapté même en n’étant pas le manager de ce collègue. C’est fuir les attitudes moutonnières.
La capacité à coopérer sans craindre que ses apports soient dilués dans une équipe (…)
Retenons :
Les compétences sont :
-des capacités d’action, “ ensemble de capacités communicatives (attention conjointe, requête, ordre, intention, etc.), que l’on peut redéfinir comme la construction des significations liées aux actions humaines. Les productions sonores impliquées dans ces processus interactifs n’ont alors qu’une valeur illocutoire. Quand apparaît le langage proprement dit, des formes locutoires (ou signes) sont intégrées au processus et l’enfant développe rapidement des capacités d’action verbale ou langagière ” (Dolz, Pasquier et Bronckart, 1993) ;
-des capacités discursives, grâce auxquelles les locuteurs construisent et se servent de” critères leur permettant d’effectuer un choix parmi les modèles discursifs disponibles dans l’environnement langagier ” (ibid.) ;
- des capacités linguistico-discursives, divisées elles-mêmes en “ cinq ensembles d’opérations impliquées dans toute production langagière : des opérations de planification, de structuration temporelle, de cohésion, de connexion et de modalisation ”

Préparer et présenter un projet personnalisé(mémoire en l’occurence) en essayant d’intégrer un élément d’ordre cognitif, un élément d’ordre motivationnel et un élément d’ordre méthodologique.
Donc la didactique de la communication doit responsabiliser l’étudiant en le rendant plus autonome, plus réflexif, dynamique et interactif dans ses différentes interventions en langue française (débat, travaux de groupes, exposé, soutenance, entretiens, résolution de situations-problèmes et d’autres tâches en formation universitaire qui le préparent à la formation professionnelle et à l’insertion dans la vie active).Elle doit également prendre en charge les non-participants:là s’avère l’importance des techniques d’animation universitaire et le coach pédagogique.
Des domaines de compétences en décloisonnement:

1. Production écrite
Elle vise la construction de textes (commentaire de textes,dissertation,synthèses de textes,résume de textes,analyse de textes ,mémoire,…).A ce niveau,il faut tenir compte de trois phases:
-conception,
-mise en oeuvre;
-révision et réecriture.

2.Communication orale;

3.Lecture.
« A partir de différents travaux – enquêtes, recherche documentaire, résumés, réécriture de textes et autres exercices autour du texte – on s’efforcera par l’acquisition d’outils fondamentaux de mieux structurer ses textes et d’atteindre la rigueur dans l’expression. On cherchera particulièrement à reconsidérer sa propre écriture, en se distanciant des habitudes acquises.
Si l’objet de ces travaux reste la production écrite individuelle et collective, le travail de groupe et l’expression orale en seront les moteurs.
Participation active demandée
. »x






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communucation , de , didactique , la , suite


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