2010-06-28, 13:36
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العضو | | | Mètre quantitatif | Il n'est possible que dans les langues dont la prosodie comprend des oppositions de quantité (vocalique ou syllabique), comme le latin et le grec ancien. Les schémas métriques se décomposent alors en pieds élémentaires, construits sur l'alternance de positions syllabiques « lourdes » ou « longues » (–) avec des positions syllabiques « légères » ou « brèves » (U). Lorsqu'on « scande » un vers, on établit son schéma métrique et l'on s'efforce de le réciter en rendant ce schéma apparent.
Le mètre quantitatif n'est pas réservé aux langues indo-européennes anciennes (grec ancien, latin, sanskrit) : il se rencontre aussi dans des langues qui, comme l'arabe, connaissent des oppositions de quantité (voir Poésie arabe). Les oppositions de quantité qui subsistaient en français de la Renaissance ont aussi donné lieu à une poésie authentiquement quantitative, illustrée notamment par Jean Antoine de Baïf. En revanche, c'est par abus de langage qu'on qualifie de pentamètre iambique un vers anglais relevant de la métrique accentuelle.
Comme c'est le cas dans les poésies gréco-latine et sanskrite, les métriques quantitatives ne tiennent en général aucun compte de l'accent tonique. | : منتديات الأستاذ التعليمية التربوية المغربية : فريق واحد لتعليم رائد https://www.profvb.com/vb/showthread.php?p=177845 التوقيع | لا تقٍرأ و ترحل شارك ولو بشكرا | |
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