Les 663 poèmes de Victor Hugo - منتديات الأستاذ التعليمية التربوية المغربية : فريق واحد لتعليم رائد

2017-10-22, 20:11

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Les 663 poèmes de Victor Hugo

Quelques mots sur l'auteur :

Célèbre poète, dramaturge et prosateur romantique français né le 26 février 1802 à Besançon dans le Doubs, Victor Marie Hugo est décédé le 22 mai 1885 à Paris.

Lire sa biographie sur Wikipédia

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Les 663 poèmes de Victor
Hugo

1er janvier.

أ€ ****.

أ€ Albert Dürer.

أ€ Alphonse Rabbe.

أ€ André Chénier.

Abîme - La voie lactée.

Abîme - L'homme.

أ€ Canaris.

أ€ celle qui est restée en France.

أ€ cette terre, où l'on ploie.

أ€ ceux qui dorment.

أ€ ceux qui font de petites fautes.

أ€ ceux qu'on foule aux pieds.

أ€ ceux qui sont petits.

أ€ des âmes envolées.

أ€ des journalistes de robe courte.

أ€ des oiseaux envolés.

Adieux de l'hôtesse arabe.

Ad majorem dei gloriam.

أ€ Dona Rosita Rosa.

أ€ dos d'éléphant.

أ€ G... Y.

أ€ Georges.

أ€ Granville, en 1836.

Ah ! vous voulez la lune.

Aimons toujours ! Aimons encore.

Ainsi les plus abjects, les plus vils.

Air de la princesse d'Orange.

أ€ Jeanne.

أ€ Jeanne (I).

أ€ Juvénal.

أ€ l'Arc de triomphe.

أ€ Laure, duchesse d'A.

أ€ la Vendée.

أ€ l'homme qui a livré une femme.

أ€ l'obéissance passive (I).

أ€ l'obéissance passive (II).

أ€ l'obéissance passive (III).

أ€ l'obéissance passive (IV).

أ€ l'obéissance passive (V).

أ€ l'obéissance passive (VI).

أ€ l'obéissance passive (VII).

أ€ l'obéissance passive (VIII).

أ€ Louis B.

أ€. L.

أ€ l'enfant malade pendant le siège.

أ€ la belle impérieuse.

أ€ la fenêtre, pendant la nuit.

أ€ la France.

أ€ la mère de l'enfant mort.

أ€ ma fille.

أ€ ma fille Adèle.

أ€ M. David, statuaire.

أ€ M. de Lamartine.

أ‚me ! être, c'est aimer.

أ€ mes amis L. B. et S.-B.

أ€ mes amis S.-B. et L.B.

أ€ M. Froment Meurice.

Ami, j'ai quitté vos fêtes.

Amis, un dernier mot.

Ami Z.

أ€ M. le D. De ***.

أ€ Madame D. G. de G.

أ€ Madame Marie M.

أ€ mademoiselle J.

أ€ mademoiselle Louise B.

أ€ Mlle Fanny de P.

أ€ monsieur Fontaney.

Amour.

Amour secret.

أ€ ***, trappiste à La Meilleraye.

Anacréon, poète.

Anima vilis.

أ€ petite Jeanne.

Apothéose.

Applaudissement.

Apportez vos chaudrons, sorcières de Shakespeare.

Approchez-vous. Ceci, c'est le tas des dévots.

Après avoir souffert.

Après la bataille.

Après l'hiver.

Après l'hiver (I).

أ€ propos de Dona Rosa.

أ€ propos de la loi Faider.

أ€ propos d'Horace.

أ€ quatre prisonniers.

أ€ qui donc sommes-nous.

أ€ qui la faute.

أ€ quoi je songe.

أ€ quoi songeaient les deux cavaliers.

أ€ Rosita.

Attente.

Aube.

Au bois.

Au bord de la mer.

Au moment de rentrer en France.

أ€ un ami.

أ€ un écrivain.

أ€ une femme.

أ€ une jeune femme.

أ€ une jeune fille.

أ€ un homme fini.

أ€ un homme partant pour la chasse.

أ€ un martyr.

أ€ un poète.

أ€ un poète aveugle.

أ€ un qui veut se détacher.

أ€ un riche.

أ€ un visiteur parisien.

أ€ un voyageur.

Au peuple.

Au peuple (II).

Au roi Louis-Philippe.

Au statuaire David.

Autre chanson.

Autre guitare.

Aux arbres.

Aux champs.

Aux femmes.

Aux morts du 4 décembre.

Aux prêtres.

Avant que mes chansons aimées.

أ€ Vianden.

أ€ Villequier.

أ€ Virgile.

Ayant vu le massacre immense.

Baraques de la foire.

Bas à l'oreille du lecteur.

Batailles.

Bêtise de la guerre.

Bièvre.

Billet du matin.

Bon conseil aux amants.

Booz endormi.

Bounaberdi.

Bourgeois parlant de Jésus-Christ.

Buonaparte.

Cأ¦ruleum mare.

Canaris.

Carte d'Europe.

Célébration du 14 juillet dans la forêt.

Cent mille hommes.

Ce que le poète se disait en 1848.

Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813.

Ce qu'on entend sur la montagne.

Certes, une telle mort, ignorée ou connue.

Ce serait une erreur de croire que ces choses.

Ce siècle avait deux ans.

C'est à coups de canon.

C'est bien ; puisqu'au sénat, puisqu'à la pourriture.

C'est la nuit ; la nuit noire.

C'est l'hiver.

C'est parce qu'elle se taisait.

C'est une émotion étrange.

C'était en juin, j'étais à Bruxelles.

Cette nuit, il pleuvait, la marée était haute.

Cette nuit-là.

Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent.

Chacun choisit un homme.

Chanson.

Chanson de pirates.

Chanson (Les châtiments, I).

Chanson (Les châtiments, II).

Chanson (Les châtiments, III).

Chanson (Les châtiments, IV).

Chanson (Les châtiments, V).

Chant sur le berceau.

Chelles.

Choses du soir.

Choses écrites à Créteil.

Chose vue un jour de printemps.

Clair de lune.

Claire.

Comédie dans les feuilles.

Comme leurs yeux troublés.

Confiance.

Confrontations.

Conseil.

Contempler dans son bain sans voiles.

Crépuscule.

Cri de guerre du mufti.

Dans cette ville où rien ne rit.

Dans l'alcôve sombre.

Dans le cimetière de ***.

Dans l'église de ***.

Dans les ruines d'une abbaye.

Dante écrit deux vers.

David, le marbre est saint.

Dédain.

Déjà nommé.

De la femme au ciel.

Demain, dès l'aube.

Dénonciation de l'esprit des bois.

Depuis six mille ans la guerre.

Dicté en présence du glacier du Rhône.

Dieu.

Dieu qui sourit et qui donne.

Dizain de femmes.

Duel en juin.

Du songe universel.

أ‰blouissements.

أ‰clipse.

أ‰crit après la visite d'un bagne.

أ‰crit au bas d'un crucifix.

أ‰crit au bas d'un portrait de Madame la Duchesse d'Orléans.

أ‰crit en 1827.

أ‰crit le 17 juillet 1851.

أ‰crit sur la plinthe d'un bas-relief antique.

أ‰crit sur la première page d'un livre de Joseph de Maistre.

أ‰crit sur la première page d'un Pétrarque.

أ‰crit sur la vitre d'une fenêtre flamande.

أ‰crit sur le mur de Versailles.

أ‰crit sur le tombeau.

أ‰crit sur le tombeau d'un petit enfant au bord de la mer.

أ‰crit sur un exemplaire de la « Divina Commedia ».

أ‰crit sur un livre du jeune Michel Ney.

أ‰galité.

أ‰glogue.

Elle avait pris ce pli.

Elle est gaie et pensive.

Elle était déchaussée, elle était décoiffée.

Elle était pâle, et pourtant rose.

Elle passa, je crois qu'elle m'avait souri.

Elle prend un miroir.

Encore Dieu, mais avec des restrictions.

En écoutant les oiseaux.

En mai.

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En passant dans la place Louis XV.

En plein midi.

En sortant du collège (I).

En sortant du collège (II).

Enthousiasme.

Envoi des feuilles d'automne à madame ***.

أ‰pitaphe.

أˆre des Césars.

Espoir en dieu.

Et Jeanne à Mariette a dit.

Et les voilà mentant, inventant, misérables.

أٹtre aimé.

Exil.

Explication.

Extase.

Fable ou histoire.

Fantômes.

Fenêtres ouvertes.

Fêtes de village en plein air.

Fiat voluntas.

Floréal.

Fonction du poète (I).

Fonction du poète (II).

Force des choses.

Fuis l'éden des anges déchus.

Fuite en Sologne.

Fulgur.

Fuyez au mont inabordable.

Gare !.

Genio libri.

Georges et Jeanne.

Grand âge et bas âge mêlés.

Grenade.

Guitare.

Halte en marchant.

Hermina.

Heureux l'homme.

Heureux l'homme occupé.

Hier au soir.

Hier, la nuit d'été.

Hilaritas.

Hugo Dundas.

Hymne.

Hymne des transportés.

Idolâtries et Philosophies.

Idylles.

Il est des jours abjects où, séduits par la joie.

Il fait froid.

Il faut que le poète.

Il lui disait : Vois-tu...

Il n'avait pas vingt ans.

Inde Irae.

Inscription.

Insomnie.

Intérieur.

Interruption à une lecture de Platon.

Invocation du mage contre les deux rois.

J'ai vu pendant trois jours de haine.

Jeanne chante.

Jeanne endormie (II).

Jeanne fait son entrée.

Jeanne songeait.

Je lisais. Que lisais-je ?.

Je me fais paysan comme eux.

Je ne demande pas autre chose aux forêts.

Je ne me mets pas en peine.

Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose.

Je prendrai par la main les deux petits enfants.

Je respire où tu palpites.

Je sais bien qu'il est d'usage.

Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans.

J'eus toujours de l'amour pour les choses ailées.

Jolies femmes.

Jour de fête.

Joyeuse vie.

La bataille commença.

La bataille perdue.

La captive.

La caravane.

La chouette.

La clarté du dehors.

La coccinelle.

La douleur du pacha.

Laetitia rerum.

La face de la bête est terrible.

La femme.

La fête chez Thérèse.

La hache ? Non. Jamais.

Laissez. – Tous ces enfants sont bien là.

La Méridienne du lion.

La mort du duc de Berry.

La naissance du duc de Bordeaux.

La nature est pleine d'amour.

La nichée sous le portail.

La nuit.

La pauvre fleur.

La peau de tigre.

La pente de la rêverie.

La prière pour tous.

La prière pour tous (II).

La prière pour tous (III).

La prière pour tous (IV).

La prière pour tous (V).

La prière pour tous (VI).

La prière pour tous (VII).

La prière pour tous (VIII).

La prière pour tous (IX).

La prière pour tous (X).

La reculade.

L'art et le peuple.

La satire à présent, chant où se mêle un cri.

L'ascension humaine.

La sieste.

La société est sauvée.

La source.

La statue.

La statue (II).

La sultane favorite.

L'autre.

L'autre président.

L'avenir.

L'aube est moins claire.

L'aurore s'allume.

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Ses poèmes classés par œuvres :

— Odes et ballades (1826).
— Les orientales (1829).
— Les feuilles d'automne (1831).
— Les chants du crépuscule (1836).
— Les voix intérieures (1837).
— Les rayons et les ombres (1840).
— Les châtiments (1853).
— Les contemplations (1856).
— La légende des siècles (1859).
— Les chansons des rues et des bois (1865).
— L'année terrible (1872).
— L'art d'être grand-père (1877).
— Les quatre vents de l'esprit (1881).
— Toute la lyre (1888).
— Dernière Gerbe (Posthume, 1902).

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رد: Les 663 poèmes de Victor Hugo

Victor Marie Hugo :

Considéré comme l'écrivain par excellence du dix-neuvième siècle, homme politique, opposant acharné à la peine de mort, poète engagé contre Napoléon III dans Les Châtiments publié en 1853, Victor Hugo est l'homme de toutes les démesures. Elu à l'Académie française le 7 janvier 1841, puis à l'Assemblée nationale le 8 février 1871, il décède le 22 mai 1885. Selon la légende, ses derniers mots auraient été : C'est ici le combat du jour et de la nuit, je vois de la lumière noire.

Les poèmes de Victor Hugo (2) :

La vie aux champs.

La ville prise.

Lazzara.

Le 7 août 1829.

Le baptême du duc de Bordeaux.

Le bord de la mer.

Le bout de l'oreille.

Le calife a puni les gens de la montagne.

L'échafaud.

Le chant de ceux qui s'en vont sur mer.

Le chasseur noir.

Le château-fort.

Le chêne du parc détruit.

Le chêne du parc détruit (II).

Le chêne du parc détruit (III).

Le chêne du parc détruit (IV).

Le chêne du parc détruit (V).

Le chêne du parc détruit (VI).

Le chêne du parc détruit (VII).

Le chêne du parc détruit (VIII).

Le cheval.

Le Danube en colère.

Le Derviche.

Le deuil.

Le doigt de la femme.

Le feu du ciel.

Le firmament est plein de la vaste clarté.

L'église (I).

L'église (II).

L'église (III).

L'église (IV).

L'égout de Rome.

Le grand homme vaincu.

Le grand siècle.

Le lendemain.

Le maître d'études.

Le manteau impérial.

Le Mausolée est beau.

Le monde et le siècle.

Le Mont-aux-pendus (Jersey).

L'Empereur s'amuse.

L'enfance.

L'enfant.

L'enfant avril est le frère.

L'enfant (Hugo).

L'enfant, voyant l'aïeule.

Le nid.

L'épanouissement.

Le parti du crime.

Le plus haut attentat que puisse faire un homme.

Le poème éploré se lamente.

Le poète au calife.

Le poète bat aux champs.

Le Poète dans les révolutions.

Le poète s'en va dans les champs.

Le progrès calme et fort, et toujours innocent.

Le ravin.

Le rétablissement de la statue de Henri IV.

Le revenant.

Le Rouet d'Omphale.

Le sacre.

Les autres en tout sens.

Les bleuets.

Les bonnes intentions de Rosa.

Les bonzes.

Les commissions mixtes.

Les Djinns.

Les étoiles filantes.

Les étoiles filantes (II).

Les étoiles filantes (III).

Les évangélistes.

Les femmes sont sur la terre.

Les Grands Corps de l'أ‰tat.

Les martyres.

Les mères.

Les nuages volaient.

Le soir calme et profond.

Les oiseaux.

Le soutien des empires.

L'espace est noir.

Les paupières des fleurs.

Le spectre que parfois je rencontre riait.

Les siècles sont au peuple.

Les Têtes du sérail.

Les trois chevaux.

Les Tronçons du serpent.

Les trop heureux.

Les vierges de Verdun.

L'été à Coutances.

Le Te Deum du 1er janvier 1852.

Lettre.

Lettre (I).

Lettre - J'ai mal dormi.

Le vieil esprit de nuit.

Le voile.

Le Vrai dans le vin.

L'exilé satisfait.

L'expiation (I).

L'expiation (II).

L'expiation (III).

L'expiation (IV).

L'expiation (V).

L'expiation (VI).

L'expiation (VII).

L'hirondelle au printemps.

L'histoire a pour égout des temps.

L'homme a ri.

Lisbeth.

Lise.

Littérature.

L'ombre.

Lorsque j'étais encore un tout jeune homme pâle.

Lorsque l'enfant paraît.

L'oubli.

Louis XVII.

Lui.

Luna.

Lux.

Madame, autour de vous tant de grâce étincelle.

Malédiction.

Marche turque.

Matelots ! matelots.

Mazeppa.

Melancholia.

Mères, l'enfant qui joue à votre seuil joyeux.

Mes deux filles.

Mes poèmes.

Mes vers fuiraient, doux et frêles.

Meudon.

Me voici ! c'est moi ! Rochers, plages.

Mille chemins, un seul but.

Mon bras pressait ta taille frêle.

Mon enfance.

Mon vers, s'il faut te le redire.

Mors.

Mugitusque boum.

Muse, un nommé Ségur, évêque, m'est hostile.

Napoléon III.

Navarin.

N'envions rien.

Ne vous contentez pas, madame, d'être belle.

Ne vous croyez ni grand, ni petit.

Noces et festins.

Non.

Nourmahal-la-Rousse.

Nous allions au verger.

Nouvelle chanson sur un vieil air.

Novembre.

Nox (I).

Nox (II).

Nox (III).

Nox (IV).

Nox (V).

Nox (VI).

Nox (VII).

Nox (VIII).

Nox (IX).

Nuits de juin.

Oceano nox.

أ” Dieu ! si vous avez la France sous vos ailes.

أ” drapeau de Wagram ! ô pays de Voltaire.

أ” femmes ! chastetés augustes.

أ” Georges.

Oh ! comme ils sont goulus.

Oh ! de mon ardente fièvre.

Oh ! je sais qu'ils feront des mensonges.

Oh ! les charmants oiseaux joyeux.

Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe.

Oh ! pour le reste de ta vie.

Oh ! pourquoi te cacher ?.

Oh ! pour remplir de moi.

Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche.

Oh ! qui que vous soyez.

Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux.

أ” Hyménée.

أ” mes lettres d'amour.

On croyait dans ces temps.

On devient attentif et rêveur.

On dit : — Soyez prudents.

On est Tibère, on est Judas, on est Dracon.

On loge à la nuit.

أ” poète !.

Orphée, au bois du Caystre.

أ” sainte horreur du mal.

أ” terre, dans ta course immense.

Ordre du jour de floréal.

Orientale.

أ” Robert, un conseil.

أ” toi qui si longtemps.

Où est donc le bonheur ?.

Oui, duc, nous sommes beaux.

Oui, je suis le rêveur.

Pan.

Parfois c'est un devoir de féconder l'horreur.

Parfois, je me sens pris d'horreur.

Parfois, lorsque tout dort.

Paroles dans l'ombre.

Paroles d'un conservateur à propos d'un perturbateur.

Patria.

Pauline Roland.

Paulo « minora » canamus.

Paupertas.

Pendant que la mer gronde.

Pendant une maladie.

Post-scriptum des rêves.

Pour les pauvres.

Premier mai.

Printemps.

Psyché.

Puisque j'ai mis ma lèvre.

Puisque le juste est dans l'abîme.

Puisque mai tout en fleurs.

Puisque nos heures sont remplies.

Puisqu'ici-bas toute âme.

Puits de l'Inde.

Quand Auguste mourut.

Quand la lune apparaît.

Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée.

Quand les guignes furent mangées.

Quand l'eunuque régnait à côté du césar.

Quand le vieux monde dut périr.

Quand nous habitions tous ensemble.

Quand tu me parles de gloire.

Quand vous vous assemblez.

Que la musique date du seizième siècle.

Que le sort, quel qu'il soit...

Quelques mots à un autre.

Quelqu'un.

Que nous avons le doute en nous.

Querelles du sérail.

Qu'était-ce que l'enfant ?.

Que t'importe, mon cœur.

Quia pulvis es.

Quiberon.

Réalité.

Regard jeté dans une mansarde.

2017-10-22, 20:26

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Rencontre.

Réponse à l'esprit des bois.

Réponse à un acte d'accusation.

Réponse à un acte d'accusation (II).

Rêverie.

Rêverie d'un passant à propos d'un roi.

Romance mauresque.

Rosa fâchée.

Sacer esto.

Sagesse.

Saison des semailles (Le soir).

Sara la baigneuse.

Saturne.

Seigneur.

Se laisser calomnier.

Sentiers où l'herbe se balance.

Seule au pied de la tour.

Soirée en mer.

Soleils couchants.

Soleils couchants (II).

Soleils couchants (III).

Soleils couchants (IV).

Soleils couchants (V).

Soleils couchants (VI).

Sommation irrespectueuse.

Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée.

Sous les arbres.

Souvenir de la nuit du 4.

Souvenir d'enfance.

Souvenirs des vieilles guerres.

Spectacle rassurant.

Splendeurs.

Stella.

Sultan Achmet.

Sur le bal de l'hôtel-de-ville.

Sur un homme populaire.

Sur un portrait de sainte.

Toi ! sois bénie à jamais.

Toulon.

Tous les bas âges sont épars.

Toutes sortes d'enfants.

Tout est doux et clément.

Tout s'en va.

Tristesse d'Olympio.

Tu peux, comme il te plaît.

Ultima verba.

Un autre.

Un bon bourgeois dans sa maison.

Un dessin d'Albert Dürer.

Une alcôve au soleil levant.

Une bombe aux Feuillantines.

Une femme m'a dit ceci.

Une nuit à Bruxelles.

Une tempête.

Une terre au flanc maigre.

Unité.

Un jour au mont Atlas.

Un jour je vis le sang couler.

Un jour vient où soudain l'artiste généreux.

Un jour je vis, debout au bord des flots.

Un manque.

Un soir que je regardais le ciel.

Va-t'en, me dit la bise.

Veni, vidi, vixi.

Vénus.

Vere Novo.

Vers 1820.

Vicomte de Foucault.

Vieille chanson du jeune temps.

Viens ! — une flûte invisible.

Vision.

Vivants.

Voeu.

Voici que la saison décline.

Vois, cette branche est rude, elle est noire.

Voix dans le grenier.

Voyons, d'où vient le verbe ?.

Ses poèmes classés par œuvres :

— Odes et ballades (1826).
— Les orientales (1829).
— Les feuilles d'automne (1831).
— Les chants du crépuscule (1836).
— Les voix intérieures (1837).
— Les rayons et les ombres (1840).
— Les châtiments (1853).
— Les contemplations (1856).
— La légende des siècles (1859).
— Les chansons des rues et des bois (1865).
— L'année terrible (1872).
— L'art d'être grand-père (1877).
— Les quatre vents de l'esprit (1881).
— Toute la lyre (1888).
— Dernière Gerbe (Posthume, 1902).

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