2011-10-22, 17:31
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العضو | | | رد: Intrigue policière : la femme mystérieuse | Episode XII :les résultats des recherches (2) Le soir vers six heures, tout le monde était rentré au bercail : les inspecteurs, les brigadiers, les sous brigadiers, les sergents, les détectives …enfin presque tout le monde ; car, l’inspecteur Rachid Slaoui n’était pas encore là. L’inspecteur Halabi s’apprêtait à déclarer l’ouverture de la réunion, quand celui-ci apparut sur le seuil de la porte : _ Désolé pour le retard, avoua-t-il penaud, j’ai bu un verre de thé avec monsieur Driss Hamdi et je ne me suis pas rendu compte du temps _ Pas de problèmes, le rassura Aïssam ; cependant, on espère que tu nous apportes quelque chose de nouveau _ Pour ça, sois en certain, conclut le retardataire Sur ce, le brigadier Hazim lit son rapport : Comme vous me l’avez demandé, inspecteur, je suis allé à l’appartement de Driss Hamdi qui se trouve au quartier Saada .J’ai sonné plusieurs fois de suite : aucun signe de vie .Quelques instants plus tard, j’ai entendu quelqu’un toussoter .J’ai sonné une nouvelle fois .Aussitôt, un homme est apparu sur le seuil de la porte .Il était en pyjama, ses cheveux étaient ébouriffés et ses pieds étaient nus. Quand je lui ai montré ma carte de police, il m’a prié de l’excuser pour un moment juste de rétablir un peu d’ordre .Quelques minutes après, il m’a fait entrer dans un superbe salon qui sentait le moisi. C’est évident, il est presque fermé . Donc, je lui ai fait part du but de ma visite. Mais avant, je lui ai présenté mes condoléances pour la mort de sa nièce . Il m’a regardé stupéfait ; puis, il s’est laissé tomber dans un fauteuil. Il n’a pas cessé de répéter : c’est impossible ! C’est impossible ! Après être calmé, il a essayé de savoir comment elle était morte .Je lui ai dit qu’elle a été assassinée .Sur le coup, il a dit : ce ne peut-être que son mari. Je n’ai fait aucun commentaire à propos de cette révélation. Après quoi, je lui ai posé des questions sur ses relations avec la défunte et son mari. Il a été sincère et n’a pas caché son antipathie envers son gendre. Il a dit textuellement : « j’entretiens de bonne relations avec ma nièce ; nous nous échangeons chaque fois des visites de courtoisie. La vérité , elle est généreuse et toujours souriante ; par contre son mari parait lugubre et se fâche par le moindre mot qui le contrarie. J’ai remarqué aussi qu’il a une dent contre mon fils Oualid. Pourtant, ce dernier ne lui a rien fait à part un jour il était ivre et il a voulu embrasser sa cousine .Bien entendu, ça n’a pas plus au directeur .Pour clore cet incident, Siham a du gifler Oualid qui s’est aussitôt esquivé de la cérémonie. Depuis, il déteste mon fils et ne lui adresse même pas la parole. On peut dire que c’est quelqu’un de rancunier Je lui ai demandé aussi si le directeur lui a rendu un jour un service .Il a répondu par la négation ; il a ajouté : _ C’est un complexé et il n’aime personne, même sa femme. Puis, je lui ai demandé de me parler un peu du mariage de sa fille Ahlam | |
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