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ÞÏíã 2013-02-09, 20:05 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 1
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Les Boeing 787,interdits de vol


Partout dans le monde, les Boeing 787 «Dreamliner» sont cloués au sol. La décision a été prise par les autorités américaines de la sécurité aérienne après la série de problèmes et d'incidents potentiellement graves rencontrés en l'espace de quelques jours par ces appareils. Entre autre, dans la nuit du 15 au 16 janvier, un avion de la compagnie All Nippon Airways a dû atterrir en catastrophe après la détection de fumée et d'une forte odeur à bord. C'est à nouveau une batterie lithium-ion fournie par le japonais GS Yuasa qui serait en cause




Treize mois après sa mise en service, le fleuron de la flotte Boeing est confronté à une série d'incidents qui contraint l'ensemble de la flotte exploitée dans le monde à rester au sol. Si les compagnies japonaises All Nippon Airways (ANA) et Japan Airlines (JAL) ont préféré mercredi ne pas faire décoller leurs 787, l'autorité fédérale de l'aviation américaine (FAA) a, la première, prononcé mercredi une interdiction de vol visant les six Boeing d'United Airlines avant d'élargir, jeudi, cette interdiction à l'ensemble des appareils à travers le monde. Les autorités japonaises, indiennes ainsi que la compagnie chilienne LAN avait déjà pris cette mesure lourde de conséquences pour les compagnies concernées et le constructeur américain.
Outre deux fuites de carburant, un écoulement d'huile, un pare-brise ébréché en vol et un souci sur le système de frein, le dernier né de l’avionneur américain, censé concurrencer l'A380 d'Airbus, est confronté à un problème de batterie. Un Dreamliner d'ANA a ainsi dû atterrir d'urgence mercredi matin à Takamastu, dans le sud du Japon, en raison d'une alarme signalant la présence de fumée et d'une odeur forte à bord en provenance de ce composant. C'est le deuxième incident de ce type, concernant une batterie au lithium-ion, rencontré ce mois-ci par Boeing.
Une enquête qui pourrait être longue

Précédemment, des fuites d'électrolytes inflammables, des émanations de chaleur et de la fumée provenant de la batterie avaient été constatées dans un appareil de la JAL à Boston, a indiqué la FAA. L'importance du problème empêche les 787 de redécoller jusqu'à ce qu'il soit réglé. Pour ce faire, la société japonaise GS Yuasa, qui fabrique ces batteries, a envoyé trois ingénieurs à Takamastu (sud du Japon), tandis que le Bureau américain de la sécurité des transports (NTSB) a annoncé mercredi l'envoi d'une enquêtrice au Japon.
"Il nous est impossible de prédire à ce stade combien de temps prendra l'enquête, que ce soit en jours ou semaines, car il faut étudier tout le système et GS Yuasa n'est pas le seul acteur impliqué", a indiqué le vice-ministre des Transports japonais, Hiroshi Kajiyama.
"La batterie montre des anomalies visibles à l'oeil nu, mais le système électrique est complexe et exige d'autres investigations", avait précisé plus tôt la compagnie nippone ANA. En effet, si les batteries sont produites par GS Yuasa, elles sont par la suite intégrées à un ensemble électrique conçu par le groupe français Thalès.
Mercredi, le P-DG de Boeing Jim McNerney s'est voulu rassurant. "Nous avons confiance dans le fait que le 787 est sûr", a-t-il souligné précisant que "nous prendrons toutes les mesures nécessaires dans les jours à venir pour rassurer nos clients et les voyageurs sur la sûreté du 787 et pour que ces avions reprennent leur service".






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