ÇáãæÖæÚ: un oiseau blessé partie-2
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ÞÏíã 2011-01-11, 19:47 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 1
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c4 un oiseau blessé partie-2


Au moment où j’ai ouvert la fenêtre de ma chambre, un merveilleux soleil, avec ses rayons dorés, me souriait en me réchauffant le visage avec sa douce chaleur. J’avais envie d’aller au port ce jour là et j’ai songé au même temps au petit oiseau qui était chez moi il y avait une semaine déjà. D’aileurs il était complètement guéri et sa blessure s’est vite cicatrisée. En plus j’ai remarqué qu’il sentait pris au piège entre les quatre murs de la coure où il a passait les sept dernières nuits. J’ai décidé ainsi de l’emmener encore une fois avec moi.

Qui sait l’odeur de l’eau salée lui donnait plus de force et d’appétit ?ses amis, eux, ne lui manquaient ils pas ?ses parents n’ont-ils pas souffert d’un lourd chagrin durant toute son absence ?me demandais-je un peu plus tard. Avant tout c’était sa famille et son monde à lui. Loin d’eux il sentait seul, isolé et abandonné.

Une fois arrivé, j’ai noté la présence de deux grands bateaux de pêche qui se préparaient à décharger leurs apports de poisson : la moisson d’une autre nuit était bonne malgré une mer peu agitée. J ‘ai lu ceci sur les visages des marins actifs et dynamiques qui accomplissaient un travail de fourmis enchaîné tout en chantant. A coté j’ai aperçu également quelques barques à moteur qui ne devaient pas quitter leur lieu de stationnement au moins d’ici deux jours.

Lentement et avec des pas précis j’ai marché vers un rang de roche séparant le port de la plage. Il était presque tout émergé dans l’eau salée et à sa surface j’ai regardé un groupe d’oiseaux qui mangeaient avec tant d’appétit de la viande maritime. A quelques mètres d’eux et je n’avais guère la possibilité d’avancer d’avantage, je me suis arrêté. Sans les effrayer, tenant toujours entre mes mains le petit oiseau à tête grise, je me préparais à lui présenter mes adieux. C’était un instant dure pour moi et j’avais trop de peine qu’il me quittait comme çà. Je lui demandais en murmurant tout prés de son oreille de m’excuser s’il sentait un peu mal au moment où j’ai enlevé une plume de son aile gauche. C ‘était juste pour garder un petit souvenir de lui. Dans un ciel clair je l’ai lancé et je l’ai suivi des yeux voler tranquillement vers sa famille. Après être rassuré qu’il ait pu regagner son monde, je retournais chez moi en traversant un long passage qui menait vers la sortie du port...0

... A SUIVRE





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