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ÞÏíã 2010-08-08, 01:38 ÑÞã ÇáãÔÇÑßÉ : 1
pianiste des merveilles
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a8 Schopenhauer : Une présence exceptionnelle dans l’univers philosophique !


Extrait d’un livre que j’impressionne personnellement c’est


, Le Monde comme volonté et comme représentation


D’Arthur Schopenhauer, le penseur qui représente le pessimisme philosophique par excellence.


Il ne s’agit pas de pessimisme ou des idées noires sur la vie ou l’existence ou l’autrui mais il demande de réfléchir sur la valeur et la raison et il ne s’agit pas de la coïncidence


Un livre véhiculé par de divers thèmes entre la raison suffisante, le monde comme enfer, apologie de la solitude, la politesse des procès épices ….


Une seule chose qu’il faut comprendre qu’il faut se connaître soi même avant de prendre la voie de découvrir l’autrui


Voila un extrait et en un simple mot ; bonne lecture




« Nous sentons la douleur, mais non l'absence de douleur ; le souci, mais non l'absence de souci ; la crainte, mais non la sécurité. Nous ressentons le désir comme nous ressentons la faim et la soif ; mais le désir est-il rempli, aussitôt il advient de lui comme de ces morceaux goûtés par nous et qui cessent d'exister pour notre sensibilité, dès le moment où nous les avalons. Nous remarquons douloureusement l'absence des jouissances et des joies, et nous les regrettons aussitôt. Seules, en effet, la douleur et la privation peuvent produire une impression positive et par là se dénoncer d'elles-mêmes ; le bien-être, au contraire, n'est que pure négation. Aussi n'apprécions-nous pas les trois plus grands biens de la vie, la santé, la jeunesse et la liberté, tant que nous les possédons ; pour en comprendre la valeur, il faut que nous les ayons perdus, car ils sont aussi négatifs. Que notre vie était heureuse, c'est ce dont nous ne nous apercevons qu'au moment où ces jours heureux ont fait place à des jours malheureux. Autant les jouissances augmentent, autant diminue l'aptitude à les goûter : le plaisir devenu habitude n'est plus éprouvé comme tel. Mais par là-même grandit la faculté de ressentir la souffrance ; car la disparition d'un plaisir habituel cause une impression douloureuse. Ainsi la possession accroît la mesure de nos besoins, et du même coup la capacité de ressentir la douleur." A.

SCHOPENHAUER, Le Monde comme volonté et comme représentation, trad. A. Bordeaux, Paris, PUF, 1966, p. 1337.





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Comprendre une personne c'est déjà lui parler. Poser l'existence d'autrui en la laissant être, c'est déjà avoir accepté cette existence, avoir tenu compte d'elle.
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